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 Sikuri

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Sikuri

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MessageSujet: Sikuri   Sikuri EmptyMar 7 Aoû - 22:45

Nom : ... Je ne sais pas encore, je devrais me décider un jour ou l'autre Smile

Prénom : Sikuri

Âge : 17 ans.

Village : Kiri

Affinité : Suiton

Grade Envisagé : Aspirant

Kekkai Genkai Souhaitée : Aucune

Comment avez vous connu Ryoma? Déjà joué il y a très longtemps.

Techniques gratuites choisies : /


Un bruit strident réveilla Sikuri. Il donna un coup sec à sa droite pour éteindre son réveil. Manque de bol, il brassa seulement de l’air. Il réessaya deux tentatives désespérées, puis se forca à ouvrir les yeux pour pouvoir enfin arrêter le supplice sonore. Il était tôt, à peine cinq heures du matin, il devait aller travailler au champ de son père. Il regarda autour de lui pendant quelques secondes, puis il referma ses yeux en se disant qu’il lui restait quelques minutes de sommeil. Il essaya tant bien que mal de se rendormir, mais il restait dans cet état inconscient, où il ne savait qu’est-ce qui séparait la réalité de son rêve. C’est souvent à ce moment que les pensées les plus stupides et, paradoxalement, les plus subtiles nous parviennent à l’esprit. Sikuri laissa divaguer son esprit à travers sa chambre, puis s’éloignant au fur et à mesure, jusqu’aux plaines désertes de Kiri. Il s’imaginait en train de s’entrainer aux tirs de Kunai, puis, après avoir invoqué plusieurs clones, il se voyait les détruire un à un grâce à des techniques de plus en plus spectaculaires. Il aimait cette vie, il se sentait fort et puissant, surtout utile.

« Merde ! »

Il se leva en sursaut. Le ciel gris avait remplacé la nuit. Il devait déjà être plus de sept heures. Il était en retard, comme à peu près tous les matins depuis deux mois. Il avait beaucoup de mal à se concentrer. Ce n’était pas de sa faute, il avait dû renoncer à son rêve de devenir ninja à cause de ses problèmes de santé. Son père l’avait alors embauché dans un champ pour cultiver du riz. Il détestait ça, mais ça lui permettait de faire quelque chose de sa vie et de ne plus penser, la plupart du temps. Il lui fallait néanmoins un travail abrutissant.
Il enfila ses vêtements à une vitesse folle, bu quelques gorgées de lait, se brossa les dents tout en préparant ses affaires pour la journée. Il partit en courant, en renversant la bouteille de lait qu’il avait laissé par terre. Il n’avait plus le temps de toute manière pour ranger ce bazar.
Comme à son habitude, il dévala les marches de l’escalier quatre par quatre, en sautant par-dessus la barrière pour le dernier étage. Lorsqu’il sorti dans la rue, il rejoignit son ami d’enfance qu’il l’attendait comme tous les matins.

[Zeka] « Je ne sais pas comment tu fais, c’est à chaque fois la même chose. Je suis obligé d’attendre vingt minutes. Je te jure, c’est la dernière fois que je t’attends. Ce n’est pas comme si le trajet avec toi était intéressant en plus. »

Il ne répondait même plus à cette menace qu’il entendait tous les matins. Comme il n’écoutait pas le monologue qui suivait selon quoi Sikuri était paresseux, désordonné et que sa vie n’était pas passionnante. Il s’aimait comme deux frères, et à partir d’un moment, il fallait savoir écouter aux bons moments. Ca faisait deux mois que Sikuri avait du mal à supporter les autres personnes. Personne ne le comprenait, et il ne les comprenait même pas non plus. Depuis qu’il avait perdu l’audition à son oreille droite, il essayait de vivre tant bien que mal. Il avait perdu tout relief des sons, il avait du mal à discerner d’où provenaient les bruits. Mais il s’était habitué.

[Zeka] « …Et c’est comme ça que je me suis transformé en ornithorynque. Faut vraiment que j’aille voir quelqu’un, ça doit forcément dire quelque chose, n’est-ce pas ? »

[Sikuri] « Assurément ! »

Zeka adorait raconter ses rêves. Ils n’étaient pas passionnants, et le plus souvent très perturbants. Mais au moins il ne posait pas de question sur l’état de santé de Sikuri, ni sur ses problèmes familiaux. Zeka avait toujours été très maladroit lorsqu’il s’agissait de s’occuper des autres. C’était un rat des bibliothèques, il étudiait énormément, il connaissait énormément de choses voire trop. Ainsi, lorsque Sikuri lui avait dit qu’il n’entendrait plus d’une oreille et qu’il pouvait dire adieu à son rêve de devenir Shinobi, Zeka avait tout simplement répondu qu’il aurait dû s’en douter car Sick, comme Sikuri était appelé par la plupart des gens, en anglais voulait dire malade, et que par un phénomène de cause à effet, à force de l’appeler ‘malade’ sans cesse, le mauvais œil a frappé. Logique lui avait seulement répondu Sikuri…

[Zeka] « …Et c’est pourquoi je lui ai dit qu’une papaye avait bien moins de lipide qu’un litchi ! J’en reviens pas de l’aberration qu’il m’a sorti. »

[Sikuri] « Et moi j’en reviens pas qu’on soit toujours ami. Je file, j’suis en retard ! »

Il le laissa sans attendre, et dans sa précipitation, il bouscula un homme plutôt âgé. Il s’excusa rapidement puis partit en courant vers les plaines. Heureusement, le brouillard s’était dissipé. Il y a deux jours, il s’était perdu, et avait fini dans un ravin. C’aurait pu passer inaperçu, si seulement il n’était pas arrivé sur le champ recouvert de boue marécageuse qui empestait. Il avait encore droit aux nombreuses railleries de ses collègues. Alors qu’il ne lui restait plus qu’un petit kilomètre à parcourir, il s’arrêta. Toujours au même endroit, il se posait la même question. Qu’est-ce qui l’empêchait de partir ? De voyager, faire le tour du monde. D’après Zeka, il y avait des villages merveilleux au loin ainsi que des paysages incroyables. C’était forcément plus passionnant que de travailler la terre toute la journée.
Néanmoins il savait qu’il devait faire plaisir à son père. Il n’a jamais été très proche de sa famille. Sa mère était partie il y a déjà cinq ans, avait refait sa vie avec quelqu’un d’autre. Depuis, son père était devenue encore moins loquace qu’avant, ce qui n’arrangeait rien. Il retrouvait cependant toute sa vitalité lorsqu’il s’agissait de dissuader Sikuri à devenir ninja. Une voie trop risquée, où plus de la moitié de la famille avait périe à cause de missions trop dangereuses.

[Père] « De toute façon, le village t’utilise, tu n’es jamais qu’un pion dans leur stratégie, tu sers seulement à assouvir la volonté de chef assoiffé de pouvoir. » disait-il à chaque fois pour terminer la conversation.

De toute façon, Sikuri avait toujours pensé que les amis qu’on se faisait était une nouvelle famille. Il n’avait jamais essayé d’établir des liens plus fusionnels avec ses proches. Sauf peut-être son oncle, qui était le seul à croire en ses capacités. Il avait essayé de lui apprendre sa toute première technique, que tous les ninjas de Kiri connaissaient, l’hydrolyse. Bien sûr, il avait dû travailler dur rien que pour tenter de réussir cet « exploit ». Plusieurs fois, il avait cru y arriver, mais il fut déçu de voir seulement qu’il avait vomit ses quelques gorgées de lait qu’il prenait le matin. De toute façon, il savait qu’il n’avait pas des qualités innées pour devenir un bon Shinobi, mais cette expérience restera une de ces plus grandes hontes tout de même. Puis son oncle avait disparu mystérieusement, ce qui mit fin à son entraînement secret, même s’il recevait des lettres de temps en temps.
Il se remit à courir pour arriver enfin, avec une bonne demi-heure de retard. Il salua son père, qui affichait toujours le même regard, qui laissait transparaitre sa déception et son amour paternel.

[Père] « Tu fais chier. Les autres sont déjà partis, tu vas devoir passer la journée avec moi. Tu as tout gagné »

Une longue journée l’attendait. Il aurait droit à une sérénade sur l’importance de la ponctualité, que tout se méritait dans une vie, qu’il ne fallait pas se reposer sur ses lauriers. Puis, son père le féliciterait tout de même d’avoir choisi cette voie qui l’honorait, où il pouvait très bien faire ses preuves et montrer son utilité.
Si seulement ils avaient de l’argent, ils auraient pu payer une opération par un médecin spécialiste, et tout serait réglé. Si seulement Sikuri n’habitait pas dans le village le plus brumeux de toute la planète, l’académie ne l’aurait pas refusé à cause de ses problèmes d’audition.
Il y avait pourtant un autre moyen. Il lui suffisait d’aller voir un de ces dégénérés de la rue Saiko, qui lui proposait une intervention, sous condition. C’était comme se donner corps et âme au diable, mais au moins il pouvait réaliser ses rêves.
Sikuri laissa échapper un rire étouffée. Sa vie était composée de dilemme. Il ne savait pas choisir ce qu’il voulait. Rien que de choisir s’il devait sortir le soir prendre une bière avec Zeka lui demandait plusieurs minutes de réflexion à peser le pour et le contre. Il ne savait pas pourquoi il trouvait toujours un contre argument pour faire quelque chose. Et pourtant, s’il y avait bien une chose où il n’hésitait pas une seconde, c’était son sa volonté de devenir un ninja. Alors pourquoi attendre ? Il n’aimait pas avoir de regret, il en avait un depuis plus de deux mois, à travailler sur une rizière, déprimante, écrasée sous le poids du ciel gris et enfermée par la brume de plus en plus oppressante. Il ne pouvait plus vivre ainsi. Sa décision était prise, il irait voir les timbrés de la rue Saiko ce soir.

[Père] « A quoi joues-tu ? »

Sikuri regarda autour de lui. Sa pensée frénétique l’avait un peu déconcentré, il avait creusé un trou béant en plein milieu du champ. Il bredouilla qu’il cherchait un ornithorynque, car d’après Zeka cette plaine était remplie de ces bêtes-là.

[Père] « Tu sais au moins à quoi ça ressemble ? » dit-il, incrédule.

[Sikuri] « Ver de terre, ornithorynque, même combat, non ? » dit-il en faignant l’innocence.

[Père] « J’vais commencer à croire que tu n’es pas tombé dans ce ravin par inadvertance. Au lieu de dormir tout le temps, tu devrais ouvrir un bouquin de temps en temps. Allez, va, c’est l’heure. »

Alors qu’il rentrait chez lui, Sikuri fit tout de même un arrêt à la bibliothèque. Il rejoingnit Zeka qui était en train de lire un livre écrit par un psychiatre qui expliquait les rêves. Il avait passé la journée dessus, et en avait conclu que son rêve le prédéterminait à une grande carrière dans l’acuponcture.

[Zeka] « Mais heureusement, j’ai rêvé il y a deux semaines qu’un rat des champs me suçait le sang. Ce qui veut forcément dire que je vais faire le tour du monde pour présenter les évolutions du chakra parmi les âges » dit-il sérieusement.

[Sikuri] « Tu me fais peur. Dis-moi, y a pas des livres qui enseignent l’Eisei par hasard ? »

[Zeka] « Nous sommes dans une bibliothèque. J’ai le livre le plus conceptuel de l’histoire entre mes mains… S’il n’y avait pas un livre enseignant une des carrières les plus respectés et pratiques de notre monde, j’crois que nous serions tous foutus. Par contre j’suis pas sûr que tu ais le droit de l’emprunter. Il est réservé aux personnes de l’académie. Néanmoins, tu as le droit à la brochure sur les premiers secours. Chanceux !»

[Sikuri] « Dictature du savoir ! »

[Zeka] « Des fois j’ai l’impression que tu ne sais pas vraiment ce que tu veux dire… Pauvre petit.

-C’est parce que tu en ais un membre à part entière, tu pourrais faire une grève de la faim pour que la bibliothèque reste ouverte 24h/24, tu cautionnes cette classification de la société en refusant le savoir aux petits paysans comme moi » dit-il en rigolant.

-« Tais-toi, sale dissident. Allez, on y va »


Ils sortirent de la bibliothèque. Ils continuèrent à rigoler sur tout et rien, et encore plus sur l’excuse pitoyable que Sikuri avait sortie à son père lorsqu’il avait creusé le trou dans le champ. Puis tout se passa extrêmement vite. Alors qu’il traversa la rue pour rejoindre son appartement, Sikuri se prit un kunai dans l’épaule, sans vraiment comprendre d’où il venait. Il se rappelait seulement du sang rouge qui envahissait son corps.
Il se réveilla quelques secondes plus tard sur un lit d’hôpital. Il était dans les vappes, et ne se souvenait pas comment il avait atterri ici. En face de lui, il y avait Myruka, son amie d’enfance. Elle était promise à une grande carrière de Shinobi, douée et intelligente, elle veillait souvent sur Sikuri. Ils avaient des rapports fusionnels qui dérivaient souvent vers le conflit. Ils ne comprenaient pas, mais plus ils s’éloignaient, et plus ils avaient besoin de se voir. C’était comme si un fil élastique et invisible les forçaient à rester connectés, malgré toutes les crasses qu’ils se sont fait subir à l’un à l’autre.

[Sikuri] « Quand ? Comment ? »

[Myruka] « Ça fait trois jours que tu es là. Tu étais dans un coma artificiel pour que tu récupères au mieux. Le plus drôle, c’est que comme toujours tu ne fais pas les choses à moitié. Le Kunai que tu as reçu devait te faire que des blessures artificielles. Mais tu as réussis à tomber sur la tête, juste à côté d’un petit, qui a trouvé très drôle de te confondre avec un ballon de football. »

[Sikuri] « C’était mon jour de chance. »

[Myruka] « Et tu t’es pris ce Kunai car un pigeon avait chié dans la figure d’un mec qui était en train d’essayer de couper une corde. Il a perdu l’équilibre et à lancer le kunai en l’air… Tu connais la suite. »

[Sikuri] « C’est une blague ? »

[Myruka] « Non. Plus sérieusement, ton père s’est mis dans des gros ennuis pour pouvoir te payer cette opération. Il s’est encrassé les mains avec les mecs de Hyrako de la rue Saiko. Il est un peu leur homme à tout faire à présent. Je n’étais pas censé te le dire. Mais il est surveillé par les ANBU à présent, comme toutes personnes qui s’impliquent dans la mafia, si on peut les appeler comme ça. Bien sûr, il n’a rien à craindre pour l’instant, mais fais gaffe »

Sikuri se pinça le bras, il voulait se réveiller de ce mauvais rêve. Comment cela était-il possible ? Il voulait se lever, mais une douleur au niveau de la colonne vertébrale le retint dans son lit. Il se demanda pendant quelques instants s’il était devenu handicapé, mais il bougea facilement ses doigts de pieds, et autres membres. Myruka lui expliqua qu’il devait rester encore plusieurs jours pour récupérer au maximum, mais que cette douleur au dos allait sûrement être une partie intégrante de sa vie future. Il fallait s’y habituer, la douleur devrait surement s’atténuer au fil des mois.

Plusieurs semaines plus tard, peu après son dix-septième anniversaire, Sikuri se trouvait chez son père. Il l’attendait pour manger avec lui, comme tous les vendredi soir. Mais cette fois, il tardait. Il était déjà plus de dix heures du soir, et il n’avait aucune nouvelle de lui. Il craignait de plus en plus pour sa vie, mais il ne lui disait rien, comme d’habitude. Et il s’en voulait. Il n’avait jamais voulu que son père emprunte de l’argent, même s’il lui en était entièrement reconnaissant.
Son père arriva sur les coups de minuit. Lorsqu’il franchit la porte, il avait l’air essoufflé, et les mains recouvertes de sang séché. Il regarda à peine son fils, et se dirigea lentement vers la salle de bain, après avoir essuyé lentement ses chaussures sur le paillasson.

[Sikuri] « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? ». Le silence fut roi.
« Qu’est-ce que tu as fait ? C’est encore à cause d’eux ? Faut que tu arrêtes, on va trouver une solution, il suffit d’en parler aux autorités ! Il suffit de … », sa gorge était trop serrée pour continuer.

[Père] « Ne sois pas débile ! T’es qu’un gamin, tu ne sais pas réfléchir. »
Sikuri ne l’avait jamais entendu employer ce ton. Un ton sévère et tranchant.
« Tu crois que les autorités ne sont pas au courant ? Tu crois qu’elles vont m’aider alors que j’ai ôté la vie de plusieurs des citoyens de Kiri ? Je suis déjà mort de toute façon, ne t’occupes plus des affaires qui ne te concernent pas.»

[Sikuri] « Mais je n comprends pas. Pourquoi le village ne t’as pas fait cadeau du prix de l’opération ? Une vie d’un citoyen de Kiri en dépendait ! »

Son père se posa contre un mur et se laissa tomber.
[Père] « Parce que j’ai déjà eu une faveur du village. Ce n’est pas la première fois que je vais voir Hyrako. Trop de sang a coulé sur les mains de notre famille. Dégage maintenant. »

***

Il n’avait plus parlé à son père depuis des jours. Myruka avait confirmé que la famille de Sikuri avait déjà eu une faveur du village, elle n’en savait pas plus. Elle lui avait aussi dit que l’académie recherchait de nouveaux aspirants car elle était de plus en plus vide, et que même « un handicapé de ton type » selon ses propres mots, avait sa chance. Zeka lui avait donné un livre sur les plus grands ninjas qui pratiquaient l’Eisei. Et il avait aussi reçu une lettre de son oncle qui lui disait de ne pas abandonner ses rêves.
Il ne voulait plus être inutile. Il voulait devenir quelqu’un d’important, mais avant tout découvrir la vérité qui l’entourait.


Dernière édition par Sikuri le Mer 8 Aoû - 9:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Sikuri   Sikuri EmptyMar 7 Aoû - 23:35

Bonjour Sikuri et merci de l'intérêt que tu portes à Ryoma - forum des shinobi. Un ancien, peut-être que je t'ai connu à l'époque, quel était le nom de ton personnage ?

Ensuite, un petit détail facilement corrigeable, tu as choisis une technique de ninjutsu élémentaire et une technique d'Eisei. Cependant la voie de l'Eisei est une voie qui te ferme la porte aux autres. En d'autres termes, puisque l'eisei est riche en possibilité, si tu la choisis, tu ne pourras pas faire de taijutsu, ninjutsu élémentaire ou genjutsu. Il va donc falloir choisir si tu préfères le ninjutsu ou l'eisei.

Est-ce que ta présentation est terminée ? Dès que tu auras modifié le petit détail cité plus haut et que tu m'auras confirmé la fin de ta présentation, je passerai à ta validation.
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MessageSujet: Re: Sikuri   Sikuri EmptyMar 7 Aoû - 23:52

Désolé, je me disais bien aussi... J'ai décidé en fin de compte de ne pas profiter de cet avantage des techniques gratuites (c'est possible ?). Je vais me diriger vers l'Eisei, mais j'apprendrais les techniques plus tard. Je ne savais trop comment caser l'apprenissage dans cette présentation sans que ça fasse tâche. C'est que le début après tout Smile

J'ai joué pendant les débuts du forum... Ca me fait bizarre d'ailleurs d'y revenir. Mon premier personnage a été supprimé, mais le second y est toujours (à ma surprise !), son nom est Hyrungo.

Sinon, ma présentation est terminée, j'ai modifié la partie dans laquelle "j'apprenais" l'hydrolyse.
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MessageSujet: Re: Sikuri   Sikuri EmptyMer 8 Aoû - 20:34

J'étais persuadé de t'avoir validé hier soir. Toutes mes excuses, je me rattrape tout de suite.

Belle présentation, tu te donnes des portes de sortie pour tes prochains RP et ue quête personnelle toute trouvée, c'est toujours un plus ! Ton personnage semble piqué au vif par l'injustice présente dans Kiri, ça ne risque pas de s'arranger dans le futur, tu es prévenu !

Je te valide en tant qu'aspirant de Kiri, félicitations !

Pour les questions, les aides et les tracas, la chat box est là et ma boîte MP est ouverte. Bienvenue à Kiri.

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