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 L'oubli d'une vie, une renaissance.

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Hakai Toshiya
Aspirant de Konoha
Aspirant de Konoha
Hakai Toshiya


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MessageSujet: L'oubli d'une vie, une renaissance.   L'oubli d'une vie, une renaissance. EmptyDim 1 Juil - 3:11

Comme un enfant que l'on venait de brutalement réveiller, le jeune homme grognait de mécontentement devant cette lumière soudaine qui venait troubler son sommeil.

??? - Chérie ! Viens voir, il se réveil !

Du bruit, des voix inconnus... L'homme n'était pas pressé d'ouvrir les yeux, sans parler de l'affreuse douleur au crane qui venait subitement le tirailler. Non, l'homme n'était pas enclin à s'éveiller tout de suite, il aimerait au contraire retourner dans le monde de Morphée, la où la douleur, la lumière et tout autre élément perturbateur n'avait leur place. Mais quelqu'un semblait en avoir décidé autrement. De deux doigts on vint soulever sa paupière vérifiant les dires de la voix précédente. L'éblouissement fut total et l'homme lança un hurlement presque bestial, repoussant du bras son agresseur.

??? - Tu as raison! Il est conscient !

Comment devait-il prendre cela ? Étaient-ils heureux de le savoir conscient ? Mais il avait un mal de chien et ça ne lui plaisait guère. Comment pouvait-on être heureux de son état ? Comme-ci que cela pouvait être pire... Il se risqua à une légère aventure vers le monde extérieur, mais la lumière d'une ampoule continuait à l'éblouir. Instinctivement, l'une de ses mains vint se position devant le champ de la lumière, lui permettant d’ouvrir petit à petit ses yeux et de se plonger sur le monde qui s'ouvrait à lui.

Deux petits vieux se tenaient fièrement devant lui, leurs visages souriant et apaisant. D'écrire un peu plus ces deux petits vieux seraient une perte de temps... Ils avaient tous les deux le dos voûtés, des petites joues joufflues, des cheveux gris (bien que l'homme n'en comptait plus qu'une poignée sur sa tête) et un goût prononcé pour les habits, chauds, utiles, mais très peu séduisant. Bref, un parfait petit couple de vieux ! La pièce par elle même était simple... Un lit, un petit bureau et une armoire, les murs étaient tapissés d'un jolie papier peint bleu et le sol était recouvert d'une moquette blanche... un petit nid douillet. L'homme resta ainsi de longues minutes à observer les alentours sans réellement comprendre où il se trouvait. Ce ne fut que lorsque la femme cassa le silence qu'il redescendit sur terre.

??? - Tu te portes bien ? Tu nous as fait des frayeurs tu sais.... on a bien cru te perdre une ou deux fois en faite...

Elle souriait, mais l'homme ignorait de quoi elle parlait. Le perdre ? Cela voulez dire quoi ?

Mikado – Oh... mais que suis-je sotte ! Je suis Mikado, et voici mon mari Kansen. Et toi ? Qui es-tu ?

En voici une bonne question... L'homme avait beau réfléchir, il n'y avait aucun nom qui ne sortait de sa bouche. Il essaya de se frotter le crane, mais ses doigts ne rencontrèrent que le tissu d'un épais bandage. Peu à peu, les paroles de la jeune femme commencèrent à avoir du sens pour lui, il avait failli mourir ! Comment ? Pourquoi ? Toutes ses questions, il n'avait aucune réponse à donner. Sa vie était comme un trou noir, le néant total. C'était comme-ci... qu'il venait de naître.

Hakai – Je.... je ne sais pas... Que...que m'est-il arrivé ?

Ils se regardèrent un instant, essayant eux aussi de comprendre le mystère que semblait être le jeune homme. Mais comment cette histoire avait bien pu commencer...

***

Sur l'une des grandes routes du pays du son, une petite charrette avançait lentement, mais sûrement tiré par un âne très peu enclin à se dépêcher. Il fallait dire que cela ne semblait déranger le petit couple de vieillard qui profitaient d'un bon bol d'air frais et du soleil. Quel bonheur la retraite lorsque vous aviez la santé pour en profiter. C'est vrai... la plupart des gens se cassent à la tâche pendant des dizaines d'années et finissent par développer tout un tas de cochonneries une fois la tant attendu retraite arrivé. Cela ne servait donc pas à grand chose... Pourquoi cotiser si ce n'était pour en profiter ? Ainsi les deux personnes s'étaient admirablement bien conservé au risque de s'attirer une réputation des plus blessantes, mais cela, ils s'en moquaient bien ! Après tout, ceux qui osaient dire cela sur leurs comptes étaient aujourd'hui des vieillards mourant qui n'attendaient que la grande faucheuse. Lui avait était bûcheron dans une petite compagnie d'une dizaine de personne et le moins que l'on puisse dire c'est que quota d'arbre abattu par jour était loin de rivaliser avec ceux de ses anciens collègues. Elle avait tout d'abord travaillait dans l'administration dans une petite bourgade avant d'avoir été renvoyé pour cause de « non compétitivité », elle avait ensuite continuer des petits boulots jusqu'à ce que son mari ne soit en âge de la retraite. Aujourd'hui, ils jouissaient de la vie et des petits plaisirs simple. Avec leur économie, ils s'étaient acheté une petite cabane en basse campagne afin de quitter le stress des villes. Malgré le chagrin de perte de leur fils et de leur belle fille, tout deux morts dans un tragique accident, les petits vieux aimaient la vie et l'inculquaient à leur petite fille, Cho, une petite blonde qui avait six ans lorsque l'accident c'était produit. Aujourd'hui, Cho était une jeune femme d'une vingtaine d'année. Pour des raisons qui lui était propre, elle avait toujours refusé de quitter la campagne pour rejoindre la ville, elle souhaitait sans doute continuer à prendre soin du couple qui l'avait élevé. Ainsi lorsque les petits vieux quittaient la maison pour quelque jour, la jeune femme restait pour surveiller le domicile et l'entretenir pour que rien n'ai changé pour le retour de ses grands-parents.

La charrette avançait timidement sur cette route. Elle s'était à présent enfoncé dans une épaisse forêt où le couple avait décidé il y à longtemps d'y acheter des terres pour y bâtir leur domicile. Le moral au plus haut fort d'un voyage chez des amis qui les avait requinqué, ils souriaient à l'idée de retrouver leur foyer et leur petite puce qui avait sans doute passée ses journées à prendre soin de la petite maison aux allures de cabane. Mais quelque chose clochait. Le couple avait déjà traversé cette route à de nombreuses reprise, ils connaissaient les arbres et la nature environnante, alors lorsqu'ils virent des arbres cassés visiblement par un choc violent alors qu'aucune tempête n'avait eut lieu dernièrement... Ils ne purent que s'inquiéter pour la vie de Cho. Donnant un coup sec de bâton, l'âne laissa échapper une plainte avant de s'activer, trottinant légèrement.

La charrue tremblait légèrement et les roues grinçaient. Les quelques bosses qu'elle franchi la fit craquer le bois, mais le couple s'en moquait. Le paysage défilait à une vitesse constante, mais il fallait avouer qu'un âne n'était pas une bête de course, alors l'homme était vexé de leur lenteur et anxieux au sujet de leur demeure. Puis très vite, une masse sombre leur bloqua le passage. L'homme fit arrêter la charrette avant de se précipiter vers l'individu... Une marre de sang s'était formé autour de son corps et sa tenue était littéralement déchiré. Le vieillard prit son poux et ne sentit rien, beaucoup d'homme aurait alors placé le cadavre sur le côté et aurait continué leur route, mais celui-ci s'attela à faire un massage cardiaque. Il ne savait pas pourquoi il faisait cela, il ignorait depuis combien de temps son cœur c'était arrêté, mais il souhaitait essayer. Faible... sortie de nul part... un poux réanima se corps meurtri. Lorsque le vieillard ressentit la pulsion, il hurla à sa femme de venir l'aider afin de porter l'homme sur la charrue. Mais deux choses vinrent choquer la vieille femme... Un bandeau de konoha et un symbole... Celui des Uchiha.
Hakai Toshiya
Aspirant de Konoha
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Hakai Toshiya


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MessageSujet: Re: L'oubli d'une vie, une renaissance.   L'oubli d'une vie, une renaissance. EmptyDim 15 Juil - 20:09

La vieille femme regarda son mari un instant pour savoir si bel et bien ils devaient lui raconter la vérité. Ne serait-ce pas mieux pour lui de ne pas être stressé à l'idée de savoir qu'on l'avait retrouvé à moitié mort dans une forêt ravagé par un combat si loin de chez lui... Konoha, la vieille femme n'avait pas oublié cette image d'un bandeau gravé de la marque de la feuille associé à des habits sortant tout droit du plus puissant clan de ce monde. Elle en avait des frissons dans le dos, il ne faisait aucun doute pour elle que son pays n'était pas étranger à l'état précaire dans lequel se trouvait ce jeune homme. Elle ignorait si cela était important ou non, un shinobi de Konoha qui se baladait dans le pays du son, était-ce si grave que cela ? Après tout, la paranoïa d'Oto était si important qu'il était même difficile pour ses habitants d'y pénétrer, alors un espion... Qu'aurait à gagner Konoha de tout ceci ? Beaucoup sans doute, probablement bien plus qu'une simple vieille femme pouvait imaginer, mais elle essayait de se convaincre que cet homme n'était pas une menace pour sa famille.

A cette pensée, son mari vint lui poser une main faible sur son épaule... Le vieillard avait apprit avec l'age à lire dans les pensées de sa femme. Il savait ce qu'elle pensait en ce moment et cela ne lui plaisait guère. Il lui fit comprendre d'un petit geste négatif de la tête avant d'offrir un sourire bienveillant au jeune homme.

Kansen – Nous t'avons retrouvé sur la route, tu étais dans un sale état, tu avais visiblement subit un accident en étant tombé d'un arbre ou je ne sais quoi. Tu as dû tomber sur la tête vu que tu ne te souviens de rien.

Mikado regarda son mari un instant, visiblement choqué que celui-ci se refuse à raconter la vérité. Puis finalement, elle s'y résigna et regarda à son tour le jeune homme.

Mikado – Tu ne te souviens même plus de ton prénom ?

Le regard dans le vide, la tête baissé, le jeune homme qui se trouvait devant eux semblait réfléchir longuement à la question qui paraissait pourtant si simple. Il finit par soufflé, comme dépassé par celle-ci. Visiblement, ce n'était pas qu'un simple coup sur la tête que le jeune homme avait reçu. Après tout, à quoi auraient-ils pu s'attendre d'autre ? Le cœur de l'homme s'était arrêté sans doute de longue seconde, voir de longue minute, le cerveau n'avait pas été alimenté en sang pendant un moment, il était naturel que celui-ci eut subi des séquelles... Lorsqu'on y réfléchissait mieux, c'était un véritable miracle que le jeune homme soit encore en vie, et encore mieux, qu'il savait parler et bouger.

Kansen – Ce n'est pas grave. Tu reviens de loin, il ne faut pas presser dame nature. Si elle a décidé de t'enlever ta mémoire c'est qu'elle avait une raison. Nous devons voir cela comme une seconde chance ! Une seconde vie !

Visiblement, seul le vieillard était enchanté par se « renouveau » que la vie semblait offrir au jeune homme. Pour lui c'était un choc, comment pouvait-on vivre sans savoir d'où on venait, de comment on se faisait appeler et même de où on se trouvait ? Puis la porte s'ouvrit pour laisser apparaître une quatrième personne dans la pièce, c'était une jeune femme, une belle blonde comme on aimait souvent les appeler. Elle tenait dans sa main une bassine rempli d'eau et une chiffon. Son regard sembla surprit lorsqu’elle remarqua le monde présent puis son regard bleu azure se posa sur le jeune homme et se fut un réel soulagement qui illumina son visage. Elle déposa la bassine sur une petite commode et s'approcha du couple.

Mikado – Voici Cho, notre petite fille. C'est elle qui s'est longtemps occupé de toi lorsque tu dormais.

Le jeune homme croisa le regard de celle qui semblait avoir été son ange gardien pendant son coma. Il ne dit rien, sans doute encore trop choqué pour ouvrir la bouche, mais il ne fallait pas être un génie pour lire la reconnaissance sur les traits de son visage. Alors ils se regardèrent, attendant que l'un finisse par faire un pas vers l'autre, puis elle finit par s'incliner poliment.

Cho – Je suis Cho, enchanté.

Soit cette gamine voulait faire bonne impression, soit son éducation avait été des plus strict et que cela avait fini par payé. L'Uchiha se contentait d'observer, il en avait même oublié ce que voulait dire ce geste. Les deux vieillards rigolèrent un instant avant de relever la jeune femme qui, visiblement, serait resté éternellement ainsi à attendre une réponse.

Hakai – Je... je suis désolé. Je ne voulais pas vous causer tous ces soucis. Je vais m'en aller.

Kansen – Humm....

Visiblement, ils ne s'étaient pas attendu à cette réaction. L'homme était blessé et pourtant il se souciait uniquement du dérangement que celui-ci avait causé. Kansen rit de bon cœur un instant devant la mine déconfite de sa femme et celle neutre de sa petite fille. Puis il reprit son calme, peu à peu, il essuya une petite larme qui avait trouvé logis dans le creux de son œil puis il parla d'une voix calme et apaisante.

Kansen – Tu ne gênes pas du tout, de plus tu es blessé. Nous allons t'héberger le temps que tu sois totalement guérit, après libre à toi de t'en aller.

Cho – Le repas sera prêt dans une vingtaine de minutes.

Kansen – Bien... ça sera l'occasion de bavarder un peu !
Hakai Toshiya
Aspirant de Konoha
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MessageSujet: Re: L'oubli d'une vie, une renaissance.   L'oubli d'une vie, une renaissance. EmptyVen 31 Aoû - 19:50

L'homme se trouvait à présent seul dans la chambre. Assis sur son lit, les couvertures couvrant la moitié de son corps, il observait ses mains. Pour une raison inconnue, celles-ci le faisaient souffrir. Lorsqu'il fermait son poing, ses os craquaient, comme se broyant un peu plus sous leur propre pression et lorsque l'homme relâchait la pression, le résultat était le même, la douleur s'emparait de sa main meurtri. Pourtant d'extérieur, celle-ci ne paraissait nullement endommagé, aucune fracture apparente, les doigts ne semblaient eux aussi pas être touché par un quelconque mal. A rester ainsi à observer son corps, l'homme commençait peu à peu à comprendre les mécanisme du corps humain. Il comprit ainsi que sa main était en fait un assemblage entre muscle, os et articulation et que si l'un des blocs étaient touchés par un mal, c'était l'ensemble qui en souffrirait. Mais pourquoi sa main le faisait-il souffrir ? S'il était réellement tombé d'un arbre, il y avait de forte chance pour qu'il ai tenté d'amortir sa chute, mais dans ce cas là, se serait ses poignets qui auraient souffert, ici, l'emplacement de la douleur semblait indiquer des... coups.

Son moment d'intense réflexion fut subitement troublé par l'entrée dans la pièce de Cho. La jeune femme l'observa un instant avant de se diriger vers la fenêtre ou elle tira sur les rideaux. Une lumière docile rosé pénétra dans la pièce. L'uchiha regardait le spectacle qui s'offrait à lui, un sublime couchait de soleil perdu entre deux arbres dont les branches semblaient s'entrecroiser. Cho observa le spectacle avec le jeune homme avant de s'en lasser, visiblement habitué à cette vision. Elle se tourna vers l'infirme et lui déposa une main sur le front, l'air songeuse, elle resta ainsi quelque instant avant de retirer sa main.

Cho – La fièvre est retombé, c'est encourageant.

Il resta silencieux devant les affirmations de la jeune femme. Celle-ci avait su le sauver de ce qui semblerait une mort certaine, juger si oui ou non la fièvre était passé devait donc être un jeu d'enfant pour quelqu'un possédant un don pareil pour la guérison. L'homme l'observait, celle-ci retirait le morceau de chiffon qui était resté si longtemps sur le front du jeune homme, puis elle le laissa au fond du sceau. Son regard bleu azure resplendissait à la lumière du soleil, ceci lui donnait une petite touche de mauve des plus magnifiques, elle sourit pour la première fois devant le jeune homme.

Cho – Le dîné va être servi d'une minute à l'autre. Tu devrais venir.

Hakai – Oui...

A ses mots, l'homme écarta la couverture qui recouvrait en parti son corps. Ses pieds vinrent au contact du sol froid et il frémit un instant. La jeune femme vint à sa rencontre et déposa un bras sur son épaule, elle allait être le pilier qui le soutiendrait comme elle fut l'étincelle qui lui permit de rester en vie. Non pas que les jambes de l'homme étaient touchés par un mal quelconque, non, elles étaient tout simplement resté inactif depuis beaucoup trop longtemps si bien qu'elles avaient perdu un peu de leur superbe et que s'appuyer dessus lui procurait des fourmis. Elle l'aida ainsi jusque la porte de la chambre. Ce qui se trouvait derrière, le jeune homme l'ignorait. Il s'était réveillé ce matin et on ne lui avait pas permis de quitter son lit. Il aurait aimé avoir des tonnes d'images défiler devant ses yeux, des images de salon, de salle à manger, de demeure en tout genre, mais rien... sa tête était désespérément vide. La jeune femme posa alors sa main sur la poignée et ouvrit la porte.

Ils pénétrèrent dans une large pièce faiblement éclairé par une demi douzaine de bougie intelligemment dispersé dans la pièce afin d'avoir le moins de zone d'ombre possible. Devant lui, au centre de la pièce était installé une table basse traditionnelle où six personnes pouvaient prendre place simultanément. Sur le côté gauche, de la où débouchait le hall d'entrée se trouvait deux fauteuils d'une personne qui s'observait face a face séparé par une bibliothèque qui contenait tout un tas de roman policier ou d'aventure. De l'autre côté de la pièce se situait le coin cuisine où Mkado était occupé de déverser divers plat dans des récipients. Le sol était recouvert de véritable latte en bois qui était semble t-il régulièrement vernis pour que celui-ci garde de sa splendeur. Les murs étaient sobrement décorés par quelque tableau, éventail et fleur que la vieil femme avait du elle même disposer.

Kansen – Ah ! Te voilà. Installe toi, ma femme nous apporte le dîné dans un instant.

L'homme regarda timidement le vieillard et Cho dû le rassurer d'un sourir pour que celui-ci daigne s'installer sur l'un des coussins. La jeune femme s'installa a ses côtés visiblement soucieuse de le mettre a l'aise. Pendant ce temps, Mikado s'était rapproché de la table et y avait déposé deux gros plats, l'un rempli de patte traditionnel et l'autre de divers légume et poisson comme accompagnement. L'homme regardait les mets avec envie, depuis qu'il s'était réveillé, on ne l'avait nourris que d'une mixture qu'ils appelaient soupe, on ne pouvait dire que cela donnait très envie comparé a ce qu'il voyait. La blonde lui susurra a l'oreille alors quelque mot pour l'encourager.

Cho – Tu peux te servir si tu veux.

Il n'en fallu pas plus pour que l'homme attrape ses pinces et déverse une grande plâtré de patte dans son assiette au rire général des l’assemblée.
Daimyo de l'Eau

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MessageSujet: Re: L'oubli d'une vie, une renaissance.   L'oubli d'une vie, une renaissance. EmptyLun 15 Oct - 13:00

Uchiha Hakai: +45 Exp

Le rp sera donc arrêté ici. Avec la prochaine reset, il est normal que tu manques de courage pour continuer ton rp solo. Smile
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