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 Chroniques de Kakouko

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Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
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Shinjin Isatsu


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MessageSujet: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyMer 19 Déc - 12:49

Chapitre 1 - Paola

Le bruit que faisait son briquet s’aligna parfaitement sur l’ombre qui passait à proximité. Il ne savait qui c’était, ni d’où sa venait, mais tandis que sa main plongeait dans sa poche pour le ranger, l’autre commençait d’hors et déjà à incanter. Le katana de son futur adversaire n’augurait rien de bon. Son interlocuteur faisait de même, mais il y en avait un deuxième, visiblement ce gars connaissait beaucoup au raiton, ça sentait l’éclair à plein nez. Kakouko n’aimait pas ça. Deux adversaires incantant des nin-jutsu, ça ne présageait rien de bon, car cela voulait dire que c’était des shinobis. Effectivement, ce genre d’arcane n’est pas maîtrisé depuis bien longtemps… et ces techniques sont, paraît-il, jalousement gardé dans le pays de la Foudre ou un autre village caché se construit.
L’épée de son adversaire s’illumina, et en une fraction de seconde il fut sur lui. Un éclair lui tomba dessus. Bon sang, que cette sensation était désagréable. Mais la sensation disparut, car elle venait de faire apparaître quelque chose qui dessina un sourire sur le visage de Kakouko. L’odeur de son propre sang, qui coulait le long d’une entaille que lui avait faîte son premier adversaire. Pour toute réponse, Kakouko finit enfin les taos. Néanmoins, il ôta sa cigarette, disposant le bout non allumé vers sa bouche, et cracha du feu à la tête du bonhomme. Il eut à peine le temps de remettre sa cigarette allumée en bouche qu’il recommença à incanter. Cette petite dépendance allait le perdre un jour. Un autre éclair… ce gars allait prendre très cher une fois qu’il en aurait terminé. Il balança un autre truc de son répertoire, histoire de voir la réaction.

Non, ils n’en démordaient pas. Une guerre ? Peut-être ? Contre Kumo ? Il prit encore un éclair, et on lui taillada la chair. Presque instinctivement, son corps se mit à flamber… les mêmes réactions qu’autrefois. Il jaugea à nouveau ses adversaire, tout en reconcentrant son chakra dans es poumons, les faisant bouillonner. Il s’en foutait maintenant. Du sang, de l’agressivité. Il voulait les griller, les carboniser, les détruire. La suite ne le fit pas trépigner. Ce n’était pas un combat essoufflant, pas du tout. Il continua le feu face aux éclairs et à l’acier, ayant de plus en plus de mal à rester debout face aux éclairs qui tombaient du ciel. Finalement, il vint à bout du deuxième, chopa son katana pour aller charcuter le dernier, mais lui-même n’y croyait guère. À bout de souffle, épuisait, lassé… il allait falloir une bonne dose de courage pour le tuer… Un dernier grésillement lui ôta tout espoir, alors que ses poumons enflammés étaient prêts à expulser un dernier morceau de Feu… Il tomba comme une masse, et n’eut le temps de voir que sa cigarette, en apesanteur devant lui pendant la chute, comme si le temps s’était arrêté. C’était un mégot maintenant.

Il neige, mais ce qui tombe sur sa peau n’est pas froid. Qu’est-ce ? Il en prend un, c’est de la cendre, des flocons de cendre. Autour de lui, tout est vide dans la pleine, dont il ne peut même pas distinguer l’étendue, perdue dans un brouillard blanc, épais, électrique, un peu. Une silhouette se dessine dans le brouillard. Plus elle avance, plus ses traits se distingue. C’est Paola. Paola… celle qui lui fait passé de merveilleuses nuits, et il n’a pas toujours payé. Des mots s’envolent, comme impossibles à retenir.

Kakouko – On enterre qui ?

Paola passe à côté de lui, sans même lui dire un mot, et avant de disparaître à nouveau dans le brouillard énigmatique, elle se retourne, pour mettre un doigt sur ses lèvres.

Kakouko – C’est un secret ?

Un clin d’oeil, et la brume fantomatique la ravale. Au revoir Paola. Tout d’un coup, en un point, la brume se fait plus sombre. L’obscurité croît, encore et encore, et fond sur lui à une terrible vitesse.


C’est dans un sursaut que Kakouko se réveille, mais les sangles le tiennent coller au lit sur lequel il se trouve. Il n’a plus ses habits, ne voit plus ses affaires. Les sangles sont trop bien attachées pour céder à ses tentatives.

Kakouko – Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? OH !! IL Y A QUELQU’UN ?!

Qu’est-ce qu’il se passe. Quels sont les derniers évènements ? Le combat, la chute. Puis plus rien. Encore une fois, cela ne présage rien de bon.

Daimyo du Feu

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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyVen 21 Déc - 21:27

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Des bruits de pas s'entendirent au delà de la noirceur. Des bruits sourds, de talon. Une femme, probablement. La porte s'ouvrit dans un cliquetis caractéristique. Cadenassée. Si Jin n'avait pas compris qu'il était retenu ici contre sa volonté, alors voilà qui aurait de quoi l'assurer de sa situation. Le soleil dans le dos de la silhouette éblouissait le Konohan. Il n'avait certainement pas vu le soleil depuis des jours.

- Le petit oiseau s'est réveillé ?

Un tchac fracassant fit apparaitre la lumière du jour. La demoiselle venait de tirer les rideaux.
(A Kakouko : Pour la suite, rendez vous sur Skype, afin de lancer une discussion entre ton personnage et cette inconnue.)
Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
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Shinjin Isatsu


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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyDim 30 Déc - 2:42

On déverrouillait la porte. Au moins, c’était clair, si d’abord, les liens auraient pu laisser penser que ses hôtes avaient peurs de lui, cette serrure (plutôt bruyante et donc grosse – logiquement) était là pour l’empêcher de partir, pour l’empêcher de faire de mal à autrui. Un femme, plutôt mignonne, me ne valant pas Flora, malheureusement, entra dans la pièce, et ouvrit les rideaux d’un coup. Un rai de lumière traversa la pièce, et Kakouko dut plisser les yeux, ne pouvant se les protéger. Il lui fallut quelques secondes pour s’habituer à la lumière.

Le petit oiseau s’est réveillé ?

Le petit oiseau… le petit oiseau… c’était la première qu’on l’affublait d’un tel surnom. Il ne voyait pas, en fait, ce qu’il avait avoir avec un oiseau. En fait, il ne s’était pour ainsi dire jamais posé cette question : à quel animal pouvait-il bien faire penser ? Un ours mal léché peut-être ? La femme le regardait. Il était torse nu, mais vu le combat et la chute qui s’en était suivi, il ne devait pas rester grand-chose de ses frasques. Son armure et son matos, par contre, l’inquiétait. En parlant de matos…

Kakouko – Vous avez une cigarette ?

- Le petit oiseau accorderait donc si peu de valeur à la vie ? Pourtant, le petit oiseau s'est débattu de toutes ses forces pour survivre il y a quelques jours...

Kakouko – le petit oiseau s'apelle Kakouko. Après avoir regardé les liens qui l’entravent, désolé, d’un air de dire « je vous aurez bien salué, maaaais… », Enchanté.

Allez, voilà. La réponse avait été du tac au tac, naturelle. Il fallait bien en finir un jour, avec ce petit oiseau. Et puis cette belle femme se présenterait-elle ? C’était grossier, comme figure de rhétorique… non, on n’appelle pas ça une figure de rhétorique, c’est de la manipulation verbale. La question n’est pas là, ça reste grossier, peu de chances qu’elle tombe dans le piège. En fait, vue que Kakouko ne savait pour combien de temps il en avait ici, ni même ce qu’on lui voulait, fallait préparer le terrain. Si les gens se méfient des simplets, ils jugeaient très vite les petits malins insolents qui draguent à tout va dans la catégorie ‘‘con’’. Kakouko savait parfaitement jouer à ce jeu là. D’autant que la femme était vraiment mignonne (encore une fois), et qu’elle avait l’air d’avoir et du caractère, et un semblant de neurone, ce qui se fait assez rare chez les Senjago.

- Kakouko, pour un pyromancien, voilà un nom tout trouvé.

Kakouko – C’est vous que je dois remercier pour avoir le plaisir d’être encore de ce monde ? dit-il avec son sourire le plus joueur.

- Oh ne me remerciez pas. Je n'ai peut-être que prolongé votre souffrance... Elle se retourne. Tout dépend si la horde de pantins derrière vous accèdera à nos demandes.

Kakouko – Abah... ça tombe bien, j'aime qu'on profite de moi.

C’était plutôt équivoque, comme réplique ça, elle se devait d’avoir perçu le sous-entendu. Sans être grossier pour autant. Ce qui le chagrinait un peu, par contre, c’est qu’elle avait salement l’air de vouloir faire casquer le village. Sur ce plan là, c’était plutôt cool. Le mauvais côté, c’était les Senjago. Eux, il n’allait pas du tout aimer casquer pour sa gueule. En parlant de gueule d’ailleurs, il se réservait intérieurement le petit minois qu’il avait en face de lui. Il ne laisserait aucun membre de la Flamme approcher cette femme, c’était maintenant sa propriété.

- Vous serez ravi alors. Elle s’approcha de la fenêtre, sans le regarder. Rêveuse ? [color:277e=firebrick ] Kakouko Senjago donc…

Abah. Il se rendit compte que ça ne le surprenait pas en fait, il était parti du principe que les Senjago était inclus dans son prix , mais il la vit serrer le poing. Oups, il ne faisait pas bon d’appartenir à son clan devant elle. Il arriverait bien à lui démontrer le contraire. Une autre personne entra dans sa chambre avec un plateau. Beaucoup moins jolie, ayant l’air beaucoup moins drôle. Zut.

- Vous m'excuserez, j'ai un autre petit oiseau à envoyer.

Kakouko – Vous êtes excusée, je ne bouge pas.

Elle le quitta, aussi peu réactive à son humour que la personne qui venait d’entrer, avec la ferme intention de lui donner la becqueté. Ça tombe bien, il se faisait faim.

Kakouko – Et toi, t’aurais une cigarette ?
Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
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Shinjin Isatsu


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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyDim 6 Jan - 3:32

L'homme était parti, le laissant seul avec lui même. Il regarda le décor... non, regardait, c'était peu dire en fait. Il scruta les moindres recoins de ce qu'il pouvait voir. En même temps, quand on est sanglé à un lit comme il l'était, à part dormir ou regarder le monde autour de soi, il n'y a pas grand chose à faire. D'ailleurs, en parlant de dormir, il ferma les yeux, et s'obligea à se reposer. Il était sorti d'un combat en sa défaveur, mieux valait se reposer, car on ne sort pas d'une incarcération après un tel combat.
C'est le même homme qui le réveilla en ouvrant la porte, pour le repas. Le dîner, à en croire la fenêtre et l'obscurité qui l'emportait sur les lueurs du Feu qui éclaire. Nourri, l'homme le laissa en remportant le plateau et en fermant les rideaux de la fenêtres. Kakouko s'aperçut qu'il possédait déjà meilleur appétit. Ça ne voulait dire qu'une seule chose, il se remettait. Il ferma les yeux... il fallait encore qu'il dorme. Sauf que là, il eut du mal. Trop d'idées. Une en particulier.

Il inclina la tête pour regarder ses liens, et surtout ses mains. Les liens n'était ni trop serrés, ni trop lâches pour le laisser partir. Un effort de mémoire l'attendait. Il savait parfaitement la technique, quitte à l'apprendre, là, tout de suite, c'était peine perdue. Mais dans cette situation, rester sans rien faire rime avec subir, aussi pourquoi ne pas tenter le coup?

La technique s'appelait Kojin no, plus couramment : le style de la main libre. C'est une technique qu'il projetait d'apprendre, et s'était ''un peu'' renseigné dessus. Pas assez, malheureusement, pour l'avoir apprise. Elle permettait d'exécuter des taos d'une seule main, pile ce qu'il lui fallait. Une petite aura enflammée, et ses liens n'auraient pas résisté indéfiniment. Le problème résidait dans le fonctionnement de la technique. Qu'est-ce que c'était? Il enchaîna les taos pour un katon – un petit katon. Évidemment, rien ne se passa, ce n'est pas à ça qu'il fit attention, mais plutôt la façon dont le chakra se répartissait dans son corps. Manipuler les taos permettait d'envoyer des sortes de pulsions dans tout le corps, ouvrant des nœuds de chakra, en fermant d'autre, de façon à ce que le chakra aille là où il devait aller, mais surtout, qu'il se transforme en quelque chose de pas trop nocif. C'est pour cela que du feu sortait de sa bouche, à la place d'eau ou d'un autre élément. Dans le cas du katon, ça devait sans doute connecter son affinité avec son corps, et son chakra. Oui, ''sans doute'', car Kakouko ne savait pas trop où il mettait les pieds.

Donc, en reprenant son raisonnement, il se rendit compte qu'en plus de moduler des flux de chakra, les taos permettaient d'harmoniser corps, chakra, et esprit. La petite question qui trottait quelque part, c'était de savoir si ça pouvait aussi faire déconner le corps, le chakra et l'esprit? Bah... Allons... qui ne tente rien n'a rien. Il recommença, en faisant en sorte que cette fois, sa main droite fasse tous les signes, sa main gauche inactive. Il se passa un petit truc. Pas à l'extérieur de son corps malheureusement. Le chakra ne se répartissait pas du tout de la même manière. En fait, avec les deux mains dans un taos, les bras faisaient un cercle qui permettaient aux ondes de circuler de façon continue durant la durée des taos. Ici, pas de cercle. En regardant le plafond et en essayant de trouver une solution, il s'endormit à nouveau.

Encore ce bruit de porte. Kakouko ouvrit les yeux avant que quelqu'un n'entre. Et non, ce n'était pas sa charmante logeuse, mais sa nourrice.

Kakouko – Salut. Toujours pas de cigarettes?

Pas de réponse, comme d'habitude. Il s'assit à côté du lit après avoir rouvert les rideaux, et se prépara pour la becqueté.

Kakouko – Bien dormi?

Il se mit à nourrir son prisonnier.

Kakouko – Moi ça va.

Du silence, encore du silence, et des bouchées qui s'enchaînent. Il sortit enfin, et cette fois, Kakouko n'avait plus sommeil. Il réessaya, mais cette fois, en étudiant chaque taos, un à un. Le chakra arrivait, mais se bloquait, et repartait ensuite dans n'importe quelle direction. Il continua ainsi à malaxer et à faire tourner en boucle son chakra dans son corps. Ce qu'il y avait de bien, c'est qu'il se débrouillait pour ne pas en faire sortir, mais cela lui demandait beaucoup de concentration. Au bout de deux heures, il en avait marre, et se rendormit. Autant joindre l'utile à l'agréable non? Des pas dans le couloir. Déjà midi? Quand la porte s'ouvrit, un courant d'air rentra dans la pièce, amenant avec lui une once du parfum de sa logeuse. Mais non, ce n'était pas elle. Foutue nourrice.

Kakouko – Toujours pas de clope?

Toujours pas de clope. Après son départ, il entreprit à nouveau de s'entraîner. Ça venait... il ne savait pas pourquoi, mais la sensation du chakra tournant dans son corps tendait de plus en plus à se rapprocher de celle qu'il connaissait quand il faisait un katon. Peut-être qu'en fait, faire des taos à une main, ça se résumait à faire passer son chakra dans la main, lui donner des ordres à l'aide des taos, et le faire repartir. Et ainsi de suite. Le cercle, c'était son bras, son corps... pas idiot. Il fit quelques petits exercices. Effectivement, les taos appellent et regroupent le chakra pour le redistribuer. Seulement différents signes donnent des signes différents. Il modifia comme il put les signes qu'il connaissait pour le katon, et se fit de cette manière une petite table de code : tel signe donnait cet effet, tel donnait celui là, et ainsi de suite. Au bout de quelques heures, il avait seulement réussi à noter les effets une vingtaine de signes. Mais il se rapprochait, il le sentait.

C'était là. Le moment où normalement, tout s'emballe, et on fait une connerie. Il arrêta net. N'ayant aucun moyen d'évaluer le temps jusqu'au soir, il jugea cependant qu'il n'avait pas le temps de dormir, et resta éveillé à rêvasser en attentant que sa nourrice vienne le nourrir. Ça ne manqua pas, il arriva, il mangea (non, toujours pas de cigarettes), ferma les rideaux, bonne nuit les petits. Il ne mit pas trop de temps, et se rendormit. Il se réveilla plus tôt. Ses muscles commençait à lui faire mal, sa vessie aussi. Les rare petits exercices qu'il pouvait faire pour s'étirer, il les fit, attendit. Non, personne. Bon, il recommença son petit manège de chakra, se remémorant les effets de la veille, en cherchant d'autres. Il s'arrêta quand le cliquetis, maintenant familier, du cadenas, se fit entendre.

Sa nourrice, toujours pas de logeuse... à se poser des questions. Qu'en était-il des revendications? Qu'allait-il devenir? Et puis la bouffe aussi, commençait à l'exaspérer. L'homme partit, comme à son accoutumée. Kakouko s'en voulut, il avait oublié de demander pour sa vessie. Il continua à malaxer son chakra, mais moins efficacement : vessie pleine, manque de nicotine, ça faisait beaucoup. Il essayait des signes au hasard, et parfois, son chakra s'interrompait, rien de grave. Puis ça vint, il ne sut comment, n'ayant anticipé ni fait attention à ses taos, mais c'était la sensation tellement familière de chaleur dans les bronches, puis dans la gorge, il expulsa... une flammèche. Pas quelque chose de grandiose. De toute façon, il s'amusait avec une quantité dérisoire de chakra, mais cela voulait dire que ce n'était pas peine perdue. Des pas dans le couloir. Kakouko tourna la tête vers la fenêtre, vers le Feu qui éclaire. Midi, à nouveau. Sa nourrice entra.

Kakouko – J'ai sérieusement besoin de pisser.

Une micro-expres​sion(cf : lie to me) passa sur le visage de son geôlier, ce qui fit rire Kakouko, car il savait exactement pourquoi : il ne lui avait pas demandé de cigarette.

Demande de validation : Kojin no – technique de la main libre
en attente de prérequis
Daimyo du Feu

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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyJeu 10 Jan - 11:26

Citation :
Intervention MJ :



Tu entends soudain du bruit et quelques cris. Serait-ce la cellule speciale formee par les hommes du Daimyo et les Senjagos ? Le geolier tourne la tete et s'en va rapidement, te laissant seul dans la piece. Tu as la possibilite a ce moment precis de t'enfuir, ou de rester la ou tu es. Si tu choisis la fuite, je te laisse decider de maniere RP pour la coherence sur la maniere dont tu t'echappes de cette piece. A partir du moment ou tu en sors, stoppe la narration, il y a une session Skype a faire sur la suite de la fuite. Les options de fuite : La porte, une fenetre aux barreaux de bois qui n'ont pas l'air incassables, tout autre idee coherente que tu souhaiterais mettre.
Bon courage.

Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
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Shinjin Isatsu


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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptySam 23 Fév - 18:20

Il allait enfin pouvoir aller aux toilettes. L'homme le détacha, et l'amena dans le couloir. À quoi bon s'enfuir, Kakouko était pour le moment bien trop heureux de se dégourdir les jambes. On l'introduisit dans un cabinet. Alors qu'il se soulageait, il était désolé pour la femme. Elle aussi, allait souffrir de l'incompétence de cet homme, qui laissait les mains libres à un expert du ninjutsu. La commission finie, il enchaîna les taos, et ses membres s'enflammèrent. Une sensation de chaleur envahit le corps du Senjago... cette belle sensation que procurait le Feu. Il sortit du cabinet, mais l'homme n'était plus là. L'homme n'était plus là? Kakouko comprit vite pourquoi, il y avait du grabuge. Soit l'homme était allé en renfort, soit il avait fui. Il fallait parier sur la fuite. Du coup, il partit à l'aventure dans le couloir. Finalement, une autre porte, séparant le couloir du hall d'entrée. Une mezzanine donnait sur le rez-de-chaussée, où des hommes se battaient avec d'autres. Il y avait Mitsuko. Il ne l'avait pas vu, mais avait senti cette odeur brûlante bien particulière. Une autre odeur, aussi : celle du parfum de la femme. Il fonça : c'est elle qu'il voulait se farcir. Il suivit son odeur dans un dédale de couloir, les rares hommes qu'il croisait n'approchait pas son aura de flammes. Il tomba sur une porte cachée, donnant dehors. Des traces, un cheval? Deux. Deux personnes s'étaient échappées. Deux personnes seulement.

Dans son état, il lui était impossible de continuer. Il avait mal à la jambe, et une vive douleur le reprit au crâne. Quelqu'un arriva derrière. Au moment où Mitsuko posa la main sur l'épaule de son cousin, Kakouko désactiva son aura de flammes.

Mitsuko – Content que tu sois encore des nôtres.

Kakouko – Sympa d'être venu. Il y a quelqu'un que je dois tuer.

Mitsuko constata les traces dans la terre molle.

Mitsuko – Je te laisse traquer ta proie. Tu aimes ça. Préviens moi quand elle sera consumée.

Tout était dit, et le juunin avait sans doute d'autres chats à fouetté que de réparer les conneries de son cousin. D'autres hommes arrivèrent, et la suite se passa comme dans une histoire, dont Kakouko n'était que le spectateur. On l'entoura, on l'ausculta, en lui posant des questions sur ses ravisseurs. Il y répondit précisément, mais distraitement. Une seule envie, pour le moment, c'était de retrouver les bras de Fiora, puis d'enquêter sur ses ravisseurs. On ne l'agressait pas comme ça, sans s'en tirer. Il n'aimait pas ne pas savoir. Oui, il allait savoir, un jour ou l'autre. Un homme se démarqua des autres. Toute un de ses côtés était ensanglanté, comme si quelqu'un avait littéralement explosé à sa droite. Lui se léchait tranquillement les lèvres, se délectant de l'effet produit sur tous les autres protagonistes qui l'entouraient. Aïdan. Il arriva au niveau de Kakouko.

Aïdan – Il va falloir m'expliquer, bébé.

Kakouko – Il y a des shinobis qui traînent, et qui ne devraient pas traîner. Trop puissant, même pour moi.

À la mention d'un pouvoir dépassant les leurs, les yeux d'Aïdan s'allumèrent. Les combats gagnés d'avance sont d'un ennui... tandis que ceux qui possèdent un challenge sont si intéressants. Mitsuko réapparut. Il s'adressai à Aïdan. Même s'il s'excusait, il n'était pas mécontent du sang avec lequel Aïdan paradait.

Mitsko – Je suis désolé pour cette éclaboussure.

Aïdan – Pas de soucis... tu m'as laissé l'achever, tu es tout pardonné.

Mitsuko acquiesça, ne réagissant pas au tutoiement. Alors Kakouko sut qu'Aïdan avait prit part au combat, et agit de telle façon à s'être approprié le respect de Mitsuko. Deux personnes importantes pour lui venaient de se rencontrer, et la rencontre s'était plutôt bien passée. Aïdan lança une veste de kimono à Kakouko, qui, torse nu, avait été couvert d'une couverture par un des hommes du Daimyo. Il mit le kimono, et les Senjago s'en allèrent avec le leur, tandis que des hommes du Daimyo fouillait l'endroit à la rechercher d'indices. Kakouko doutait qu'ils en trouvent.
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MessageSujet: Re: Chroniques de Kakouko   Chroniques de Kakouko EmptyLun 4 Mar - 15:55



+ 137 XP
(Ceci inclut le gain XP des RPs des deux topics ainsi que la résolution du combat, que je considère comme une défaite)

Commotion Cérébrale : conséquence du combat contre les tueurs à gage
Effet : vous oubliez aléatoirement deux techniques. Elles ne peuvent plus être utilisées.
Techniques oubliées : Wanamakai - Piège Infernal et Hi Kakeru - Jouer avec le feu
Durée : Un à deux ans (RP).
Tu peux obtenir l'usage de ces techniques à nouveau si tu développes un RP cohérent de réapprentissage. Note cependant que ce sera considéré comme l'apprentissage d'une technique de rang A, peu importe le rang originel de la tech.


J'aurais donné un plus gros multiplicateur si tu avais pas un peu (beaucoup) bâclé la fin du récit, mais ça reste une session RP très sympa finalement, qui t'aura permis de faire du combat, d'enrichir le BG de ton perso, et d'ouvrir des voies possibles de RP et d'objectifs personnels futurs. Bravo pour avoir survécu, c'était vraiment pas gagné, il y avait un vrai risque.
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