Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez
 

 Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
Aspirant de Konoha
Shinjin Isatsu


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko EmptyVen 14 Juin - 22:28



Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko




Après une balade agréable dans une forêt luxuriante, vous tombez sur une clairière et trois bâtiments en état d'abandon. Au milieu, des établis avec des plans, un endroit à l'abris d'une ruine ou un coin pour dormir est aménagé de manière sommaire. Bienvenue dans le domaine de Kakouko. 


Dernière édition par Kakouko Senjago le Lun 17 Juin - 9:49, édité 1 fois
Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
Aspirant de Konoha
Shinjin Isatsu


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Re: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko EmptyLun 17 Juin - 9:47


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko



Le fils du Feu se leva tranquillement. Il avait su, comme à soin habitude, trouver un endroit tranquille, qui retenait toute sa discrétion. Une chambre fermée qui évitait toute connivence avec ses frères du Feu. La nuit avait été dure. Devant le manque de choses à faire, les Senjago sautaient sur n'importe quelle occasion pour se distraire. Ici, c'était l'émeute qu'avait failli déclencher Kanejiro qu'on avait fêté comme il se doit. Le pauvre avait été raillé toute la soirée, et le jeu principal de la soirée avait été d'essayer de s’asseoir dessus le plus de fois possible. Ce jeu avait duré longtemps, et si Kakouko pouvait se permettre le jeu de mots, il allait rester dans les anales du clan. Une chanson avait été composée rien que pour lui, mais interrompue : son agresseur était inconnu, on ne pouvait donc pas faire de jeu avec sa condition ou bien son nom.
Quand Kakouko descendit les escaliers pour traverser la salle principale de la taverne, il n'y avait que des cadavres d'homme souillés par l'alcool. La scène était assez comique. Certains commençaient à émerger avec le soleil. Le Kanejiro en personne était même déjà levé, se tenant la tête à deux mains. Quand il vit Kakouko, il le regarda en soupirant devant la scène de la salle dévastée. Kakouko sortit de la taverne avec toujours la même résolution qui l'avait empêchée de trop boire la veille : les Senjago, avec leurs mœurs et leurs coutumes, ne pourraient pas indéfiniment occuper des endroits publics comme celui ci. Ils leur faillaient un domaine à eux.
 
Il se dirigea vers la salle du concile. On le laissa passer... le village était jeune, et peu de personnes avaient un grade supérieur au sien, évidemment. Même si sa promotion au rang de juunin lui avait été refusée ("doit faire ses preuves", ou un truc comme ça...), il possédait tout de même un grade important qui pouvait lui laisser ce genre de choses. De plus, la pièce n'était presque pas gardée, alors pourquoi se gênerait-il? Il regarda dans le cadastre, ou plutôt ce qui ressemblait à un plan détaillé de Konoha, pour trouver l'endroit qui correspondrait à ses attentes. Il n'y avait pas grand chose. Les terres étaient soient rattachées à Konoha, soit à la capitale. Juste au Nord se dressait un énorme terrain, d'un seul tenant, avec une bâtisse au milieu, de grande importance. Malheureusement, le document n'indiquait aucun propriétaire : il irait donc voir les lieux pour plus de précisions.
 
Sur le plans, il était indiqué que les bâtiments, au nombre de quatre, étaient bien enfoncés au milieu du terrain. Cependant, le Senjago ne s’attendait pas à trouver une telle forêt vierge. La Terre avait repris ses droits. Un mur, coiffé d’un chapeau de tuile d’ardoise noires, était en train de tomber en ruine. De l’entrée, on pouvait parfaitement supposer que le mur faisait le tour de la propriété, épousant avec souplesse tous les reliefs du décor. Ce n’est pas sans plaisir que Kakouko poussa une porte en bois vermoulue qui s’ouvrir dans un grincement avant de rentrer dans la propriété. Cela ressemblait beaucoup à une balade en forêt. Sur le chemin restait par ci par là des pavés, anciennes reliques d’une route parfaitement pavée, sans doute. Ce n’est qu’au bout d’une quinzaine de minute que Kakouko arrivait à ce qu’il estimait être la place centrale de la propriété : deux bâtiments. La première était une grande maison en ruine, de cinq étages. Même si les choses étaient devenues vétustes avec le temps, on pouvait sans doute la retaper. Un peu en retrait, il y avait un autre bâtiment, plus rustique, et plus agricloe. Kakouko hésitait entre une grange, ou une écurie. De mémoire, à l’Est devait se trouver les appartements des domestiques, et au Nord, un autre bâtiment – dont on ne savait pas grand-chose.
 
Dans la maison, une odeur de bois mouillé prenait tout de suite le nez. Les portes se faisaient coulisser dans un grincement, mais les pièces étaient encore bien dessinées. Il s’agissait maintenant de trouver quoi que ce soit qui puisse renseigner l’homme sur le propriétaire des lieux, ou ce qu’il s’était passé dans cette maison. Au rez de chaussée, il ne trouva rien du tout. Les tiroirs, et la totalité des meubles étaient ouverts, et avaient été vidés. Sans doute l’œuvre de pilleurs ou de rôdeurs. Après tout, même si la maison était sur le territoire de Konoha, ce n’était pas pour ça que ça la protéger de tout… surtout qu’elle était inhabitée, et invisible depuis l’extérieur. La seule chose qui laisser penser qu’il pouvait y avoir une maison ici, c’était le mur extérieur.
 
À l’étage, les meubles étaient tout aussi ouvragés. C’était une famille riche qui habitait là. Cependant, on commençait à en trouver qui n’avait pas été visités : des draps, des habits, parfois. À se demander si les voleurs sont fainéants. Non, en fait, il releva vite le problème : un énorme trou dans le plancher, ainsi que son semblable dans le plafond. Quelqu’un avai traversé plusieurs étages… du coup, il vérifiait régulièrement la qualité du plancher sur lequel il marchait, mais continua de gravir les étages. Il évita d’autres trous, et déduisit même, en trouvant la bibliothèque, que la maison appartenait à un marchand : beaucoup de facture, de comptes. On pouvait voir que c’était un marchand qui partageait son commerce entre le textile et l’alimentaire, en particulier le riz. Au dernier étage, devant un trou béant – lai maison en était à sa septième victime si on comptait un trou pour un voleur – Kakouko trouva une porte fermée à clé. Etant donné l’état du bois, il n’eut aucun mal à enfoncer la porte. C’était la chambre du maître des lieux, si on en croyait les dimensions. Kakouko pensa qu’elle ferait une chambre parfaite, pour l’humble shinobi qu’il représentait.
 
Dans cette chambre, il y avait quelque chose de peu commun : un coffre fort. Apparemment, personne n’avait été en mesure de le forcer. Kakouko ne s’y risqua pas non plus. Cet objet attendrait. Il redescendit, et retourna dans l’enceinte du village pour chercher ce dont il avait besoin : tréteaux, planches, grandes feuilles de papiers, crayons. Il se sentait assez instruit en matière de matériaux et d’architecture pour lui-même refondre les plans de cette propriété. Il prévint aussi de l’endroit où il était, à la taverne où ses frères avaient élu domicile, des fois que quelqu’un le chercherait.
De retour dans cette immense propriété, il investit la grange, qu’il nettoya tant bien que mal. C’était le seul endroit assez spacieux pour qu’il puisse s’étendre comme il le désirait. Après avoir mis en place ses tables de travail, il commença à en dessiner les plans, minutieusement, à l’échelle, comme on le lui avait appris pour les armes complexes. C’était le plus gros de son travail avant de commencer à créer : reproduire ce qui existait déjà. Ce n’est qu’à la fin de la soirée qu’il commença à peine à dessiner de nouvelles façades, de nouveaux décors, à penser à l’organisation des choses.
 
Mitsuko – Pfiou… tu t’es fait un vrai petit nid.
 
Kakouko – Mitusko !
 
Il alla enlacer de façon virile son frère.
 
Mitsuko – Alors c’est ici que tu nous vois ?
 
Kakouko – Oui, c’est exact. Ça me paraît assez grand.
 
Mitsuko – Effectivement, ça l’est. Qui en est l’heureux propriétaire?
 
Kakouko – Le cadastre indique Konoha, il me fa            ut encore l’aval du Nidaime.
 
Mitsuko – C’est pas gagné Kakouko…
 
Kakouko – Comment ça?
 
Mistuko – Elle est beaucoup moins… commet dire?
 
Kakouko – Malleable ?
 
Mitsuko – C’est ça. Père l’aime bien pour ça d’ailleurs, elle a du charactère, et elle sait où elle va.
 
Kakouko – Je vais donc devoir faire mes preuves…
 
Kakouko prit un air songeur, jouant distraitement avec un crayon qu’il avait en main. Mitsuko en profita pour regarder les plans de Kakouko, sur les différents établis.
 
Mitsuko – Tu as toujours été le plus… ingénieux des Senjagos.
 
Kakouko – Je ne sais pas si c’est le mot que j’aurais utilisé, mais oui, en effet. C’est ce qu’Il me disait souvent. Ingénieux, malin, pratique.
 
Mitsuko – En parlant de faire tes preuves, à quand remonte ton dernier combat ?
 
Kakouko – Cela devrait être quand nous étions allé chassé. Cinq ans ?Peut-être six ?
 
Mitusko – Si tu parles de ton arrivée, ça remonte à plus d’une dizaine d’années.
 
Ces dernières paroles avaient été prononcées sur un ton de reproche. Comme si cela irritait le leader de la Compagnie du Fer de savoir que son frère le plus proche était pour le moment incapable de se défendre tout seul. En effet, la formation de forgeron avait pris tout le temps de libre de Kakouko. Du jour au lendemain, il avait embrassé cette voie, et il ne regrettait rien. Cependant, il n’avait plus vu qui que ce soit si ce n’était des forgerons, des fournisseurs, ou bien des clients, et avaient donc tiré un trait sur ses relations sociales, ou son apprentissage martial. Il avait retenté, en arrivant au village, de refaire les choses dont il était capable quand il avait été trouvé dans les montagnes par les moines. Mais c’était peine perdue. Son psychisme devait faire un blocage total sur cette période, et s’il avait su conserver son affinité et sa fascination pour le feu, il en avait perdu la maîtrise.
 
Mitsuko – Qu’est-ce qu’il y a ?
 
Kakouko – Je suis incapable de refaire ce dont j’étais capable.
 
Mitsuko, sceptique, en levant un soucril – Même pas un petit katon ?
 
Kakouko soupire – Non.
 
Mitsuko fureta du regard – Un endroit où l’on peut s’entraîner ?
 
Kakouko sourit, se déplaça jusqu’à une de ses planches – Il y a une source chaude sur la propriété.
 
Mitsuko – En plus d’être intelligent, tu as une chatte monstrueuse.
 
Les deux amis partirent en riant vers l’endroit en question. Il y avait toujours la source, qui fumait maintenant dans la fraîcheur de la nuit avançante. Des panneaux de bambous tenaient parfois encore debout, et un préau étaient en train de s’effondrer au dessus d’une partie de l’étendue d’eau.
 
Mitsuko – Déjà, les taos.
 
Il fit une série de signes avec les mains. Courte, facilement identifiable. Kakouko fit la même, et sentit son chakra s’orienter et se condenser dans ses poumons. Il ouvrit la bouche, et le chakra accumulé se dispersa dans l’air. Même pas une petite flamiche. Mitsuko connaissait son frère mieux que personne. Si les années qu’ils avaient passaient sans se voir auraient pu les éloigner, il n’en était rien. Une part d’eux, de leur enfance, était toujours bien présente. Parfois, il avait l’impression de revoir le jeune ingénu qui était arrivé un soir, sans crier gare, avec ce moine. De la même façon, Kakouko voyait parfois en Mitsuko cet enfant renfrogné, sur de lui et un peu autoritaire qui l’avait accueilli. C’est sans doute pour cela qu’en se retrouvant, ils n’étaintt pas redevenu très proche, ils l’étaient juste restés.
Mitsuko savait que Kakouko avait une faculté de concentration exceptionnelle, il ne lui servait donc à rien de lui demander de faire des efforts ou de se concentrer. Il fallait qu’il explique avec des mots ce qui pour lui tombait sous le sens, et s’exécutait de manière quasi automatique. Kakouko pensait bien que c’était un exercice très dur, lui-même n’aurait pas su expliquer, à l’heure actuelle, la bonne et la mauvaise façon de taper sur du métal avec un marteau.
 
Mitsuko – Pense “Feu”.
 
Kakouko recommence les signes, pensa au Feu, à sa fascination, et à son utilité pour façonner le métal. Cette fois, il ne sentit non pas le chakra lui lécher les parois de la gorge, mais un vrombissement violent, tumultueux et incontrôlable qui ne voulait que sortir. Ses joues se remplirent. La chose était chaude, et même devant son manque total d’ordre, Kakouko aodrait cette sensation. Il souffla de toutes ses forces, et un énorme nuage de flammes sortit de sa bouche, se perdant sur l’eau thermale. Il faillit mettre le feu au préau.
 
Mitsuko – C’est difficilement oubliable hein ? Quand on l’a déjà ressenti une fois. Au moins, je suis sure que tu es bien un fils du Feu.
 
Kakouko – Je trouve cela reposant. Et incroyablement… bon.
 
Mitsuko – Chacun le ressent différemment. J’ai même entendu que les shinobis normaux trouvent cela brûlant, et que la technique consiste à recouvrir leurs parois internes de chakra pour les préserver. Nous n’avons pas ce problème… pour ma part, ça me rend explosif.
 
Il rit, et Kakouko aussi. Il avait déjà vu la chef de la Compagnie du Fer à l’œuvre, et effectivement, mieux ne valaient jamais s’en faire un ennemi, pour qui que ce soit.
 
Mitsuko – Il va falloir que tu t’entraînes, que ça devienne inné. Je venais te dire que des missions étaient disponibles… le Nidaime s’est sortit le doigt du cul.
 
Kakouko – Je vais devoir m’y coller… si je souhaite offrir ça à nos frères.
 
Il désignait le domaine entier.
 
Kakouko – Tu crois qu’on peut y installer une taverne ?
 
Mitsuko eut l’air abasourdi, se reprit, sourit, puis rit.
 
Mitsuko – Tu vas devenir plus populaire que moi, Kakouko.
 

Demande de validation – Katon
Shinjin Isatsu
Aspirant de Konoha
Aspirant de Konoha
Shinjin Isatsu


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Re: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko EmptyVen 28 Juin - 11:49

Aïdan - Alors c'est ici que tu vis?

Kakouko - Ouais... c'est un toit. Et j'ai vécu dans bien pire.

Aïdan, en passant le doigt sur un mur et en le regardant, comme pour constater de la propreté des lieux - C'est un peu rustique.

Kakouko - Tu y es invité d'ailleurs, faute de mieux.

Aïdan - C'est gentil.

Aïdan se déplaçait dans l'endroit, inspectant parfois les cartes, regardant les travaux de Kakouko. Il y avait pas mal de plans, des cartes, des dessins. Que ce soit des dessins d'architectures pour refaire ses ruines, ou des pièces d'armure, des armes un peu originales, avec plain de calculs autours auxquels Aïdan ne comprenait pas grand chose. Des maths, de la physiques, de la thermodynamie, un peu de mécanique des fluides. Kakouko lui faisait entièrement confiance, et le laissait donc se promener parmi ses travaux. Devant lui, il avait un parchemin qui lui avait ramené Mitsuko. Un parchemin de technique, qui indiquait comment faire en sorte que son corps se transforme en torche humaine. Une façon subtile de demander à Kakouko de devenir plus fort, oui. Le tour d'Aïdan s'arrêta derrière Kakouko.

Aïdan - C'est très mal expliqué.

Oui, à en juger par la netteté de ce qu'il y avait marqué là dessus, Kakouko ne doutait plus que c'était surement Mitsuko qui l'avait rédigé.

Aïdan - Comme ça tu t'entraîne?

Kakouko - Oui. Un tournoi est bientôt prévu. Je ne pense pas pouvoir utiliser cette technique d'ici là, mais elle a l'air de valoir le coup.

Il sortit de sa grange pour rentrer dans la maison. Aïdan le suivit. Effectivement, à l'extérieur, il y avait une pluie battante, et ni l'un, ni l'autre n'avaient envie de se mouiller en s'entraînant. D'autant que s'entraîner à produire du feu sous un torrent ininterrompu était aussi inutile qu'idiot. Aïdan s'assit en tailleur en face de Kakouko. Le Senjago sentit une sensation désagréable l'entourer, comme si quelqu'un essayer de pénétrer dans sa tête. Ce sentiment se manifestait par une pression continue sur son crâne, et particulièrement au niveau des tempes. Qu'est-ce qu'Aïdan essayait de faire, il ne le savait pas. Il maniait les strates du Genjutsu, un art que Kakouko ne comprenait pas, beaucoup moins ordonné que ce qu'il connaissait jusqu'à présent. Oui, pour maîtriser les illusions, Kakouko admettait qu'il fallait spécial, créatif, peut-être même dissipé. Bref, un autre monde que le Feu Noir Senjago. Et pour être spécial, Aïdan était spécial. Une prédilection pour les illusions, alors qu'il adorait voir du sang. Ce n'était pas logique pour Kakouko, mais ça l'était pour son ami, alors pourquoi souligner ce fait? Du coup, c'est avec cette pression mentale que Kakouko dut commencer à travailler. Le parchemin de Mitsuko était tellement mal foutu, qu'il en avait sorti le but : faire sortir des flammes de tout son corps, et déduit les principes. Cela commençait comme la katon, si ce n'est qu'il fallait d'abord concentré son chakra sur un autre organe que la gorge, ou les poumons : la peau. Et ensuite, transformer ce même chakra en feu ardent, tout en se protégeant.

Commencer par répartir une fine pellicule de chakra sur sa peau n'était pas une mince affaire. Il s'y reprit plusieurs fois, et s'entraîna à la stabiliser autant qu'il le pouvait. Beaucoup de concentration au début, mais au fur et à mesure, ses sensations devenaient plus fines, et il y arrivait de mieux en mieux. Même Kakouko fut surpris de sa vitesse d'assimilation. Après seulement deux, voire trois heures, il faisait varier la densité de Chakra dans sa peau où bon lui semblait, comme des tâches qui bougeait autour de lui. Oui, des tâches chaudes qu'il pouvait bouger rien qu'avec la force de son esprit.
Il passa à la seconde étape, qui consistait à enflammer la chose. Il se concentra, et comme le katon, il essaya une première fois, rien. Une deuxième, non plus. Il visualisait très bien son corps enflammé, et se concentrait pour pouvoir y arriver, en partant du chakra présent dans les pores de sa peau, mais rien n'y faisait. Il continuait, encore et encore, d'essayer, de manières différentes, mais rien ne se passer. En plus, la pression permanente d'Aïdan ne l'aidait pas. Mais au milieu d'un combat contre un manipulateur des illusions, c'était probable qu'il ressente la même chose, autant se préparer à ça le plus rapidement possible.

En un clin d'oeil, la pression sur l'esprit de Kakouko se relâcha. Alors qu'Aïdan voilait se levait et s'apprêtait à dire quelque chose, il dut esquivait une déflagration puissante, suivi d'une deuxième, qui cette fois l'expulsa dehors, après que son corps ait traversé un mur. Il se rattrapa de manière agile, et comprit. Le premier choc, c'était le chakra de Kakouko qui sortait d'un coup. La deuxième, c'était ce même chakra qui s'enflammait. Le résultat, c'est que la maison était en train de flamber. Il n'alla pas chercher le Senjago. Kakouko était assez grand pour se débrouiller tout seul, mais l'inquiétude d'Aîdan se manifestait autrement : ce dernier restait sous la plui, devant le brasier qu'était en train de devenir cette maison en ruine. Heureusement qu'ils ne s'étaient pas exercés là où Kakouko vivait. La grange était sécurisait, avec cette pluie, le feu ne risquait pas de se propager. Dans le contour de la porte se dessina une silhouette. Kakouko, nu, entouré de flammes. Le brasier de la maison n'avait pas l'air de le gêner le moins du monde. Quand il sortit, les flammes perdurèrent comme elles purent, mais finalement moururent dans un bruit de vapeur. Le Fils du Feu leva la tête pour regarder la pluie qui tombait. Sa nudité ne lui était peut-être même pas venu à l'esprit.

Kakouko -Mouais... il ne faut pas abuser non plus. Au moins, je sais que je peux faire, et je sais également quand je ne peux pas le faire. Rentrons, faut que je passe quelque chose, mon kimono a cramé.

Ils rentrèrent, et Kakouko tendit une serviette à Aïdan pour se sécher. Il passa un nouveau kimono.

Aïdan - Le katon, c'est puissant?

Kakouko - Comment... tu as fouiller ma tête?

Aïdan - Oui.

Kakouko - Je ne l'air pas encore testé sur quelqu'un.

Aïdan - Ce tournoi va être intéressant.

Demande de validation pour Kakouko - Honoo no Seki – Aura de Flammes
Demande de validation pour Aîdan - Shisougyaku – Idée Contradictoire
Maître du jeu
Administrateur
Administrateur
Maître du jeu


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Re: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko EmptyVen 28 Juin - 19:19

Je valide les deux techniques même si les règles sur les pnj ne sont pas encore fixées.
Maître du jeu
Administrateur
Administrateur
Maître du jeu


Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Re: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko EmptyMer 7 Aoû - 20:02

Kakouko: 15Xp
Contenu sponsorisé



Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty
MessageSujet: Re: Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko   Parc Seibutsu - Domaine de Kakouko Empty

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ryoma - Le forum des Shinobi :: Sequences archivées - 3e version-