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 Des flèches dans le popotin...

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Senritsu Isatsu

Senritsu Isatsu


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MessageSujet: Des flèches dans le popotin...   Des flèches dans le popotin... EmptyMar 15 Mai - 23:17

Sunn - Plus a gauche...

Zbiiiiiiiiimm

Sunn - Plus a droite maintenant...

Zbaaaaaam

Sunn - Plus fort que ca, voyons, qu'est-ce qui t'arrive ?

Etsuko - Mais tu vas la fermer oui ? Essaie un peu pour voir !

Elle lui tint In'Ki, son arc, avec un air de defi. Lui, allonge a moitie endormi pres du grand orme la regardait avec un air amuse.

Sunn - Je suis sur que c'est super simple ton machin. Tu vas avoir la honte de ta vie.

Etsuko - Si tu arrives juste a faire sortir une fleche de cet arc a plus de 5 metres devant toi, je me mets a poil devant l'Academie et je fais la poule.

Une lueur s'illumina dans son esprit. La poule il n'en avait que faire, mais Etsuko nue, ca valait carrement le coup ! Il bondit sur ses deux pieds, une main dans le pantalon et l'autre dans les cheveux, tout ebourrifes de ce changement de gravite soudaine.

Sunn - Te plains pas si dans cinq minutes la moitie des ninjas de ce village aura vu tes nichons.

Etsuko - Aucun risque. Vas-y, je t'en prie, installe toi mon cher.

Il faisait le fier, roulait des mécaniques. Quelques genuflexions, deux trois étirements inutiles, deux trois souffles chauds dans les paumes de sa main tout aussi inutiles, puis il aggrippa l'arme de bois sombre comme on tient un jouet. Si elle ne le connaissait pas, elle lui aurait déjà mis son poing dans la figure. Pour manquer de respect à l'art ancestral de sa famille sans attirer son courroux, il fallait vraiment que le blasphémateur occupe une place particulière dans sa vie. Le veinard, c'était le cas, mais le calme n'augurait que la tempête, et elle s'imaginait déjà Sunn échouer lamentablement et inventer des excuses bidons pour cacher son incompétence. Et ce qui devait arriver arriva...

Sunn - Raaah, je me suis coupé avec le fil... ça va pas de mettre des fils aussi fins ?

Etsuko - Il faut être stupide de bander un arc sans mitaine en même temps...

Sunn - C'est pour ça que tu as ce gant sur ta main droite?

Etsuko - Nan ça c'est juste pour faire fashion.

Sunn - Ah bon...

Elle lui jeta le gant à la figure avant même qu'il ne puisse s'en rendre compte.

Etsuko - Des fois je me demande si tu le fais exprès... Oui, ça sert à bander l'arc sans se faire mal. Enfile le.

Il ramassa la pièce de cuir entre ses mains. C'était une pièce rare, très travaillée, et les motifs cousus au fil de soie représentaient ce que Sunn considéra comme le symbole des Toshiya. Une toile d'araignée, à peine discernable, se développait tout le long du gant jusqu'à ses extrémités. C'était un cadeau de Sokkai, à l'époque où il état en binôme avec elle. Ils étaient tous les deux gauchers, mais il n'avait pas hésité à donner sa mitaine gauche pour la protéger de la coupure des fils, un jour qu'elle avait oublié son propre équipement dans sa chambre.

Etsuko - Et fais-y attention, j'y tiens.

Sunn - Oui oui. Bon, à nous deux, mon cher arc !

La scène fut risible, du début à la fin. La position de ses jambes trop écartées, la difficulté à garder l'engin en équilibre dans sa main droite, les bras tremblants par la pression de la tension de la corde. Puis la tentative de visée, l'arc tremblant tellement que la flèche tomba trois fois au sol avant qu'il parvint à la laisser tenir. Puis la première tentative, à mourir de rire, qui vit la flèche parcourir 1 mètre en tournoyant sur elle même. Rouge de honte, et déçu de ne pas voir son rêve érotique se réaliser sous ses yeux, il redonna l'équipement à la kunoichi d'un air blasé.

Sunn - De toute façon les arcs c'est pas pour moi. Moi je suis un homme d'action, j'ai besoin d'aller au front, sauver la veuve et l'orphelin !

Etsuko - Regarde.

Elle enfila la mitaine et se mit elle-même en position et tendit le bras. D'un air ronchon, le Chuunin lui tendit l'arc. Elle attrapa une fleche d'entrainement dans son carquois, et la tendit sur la corde.

Etsuko - Comme ca. Les jambes pas trop eloignees l'une de l'autre pour ne pas perdre en force, le bras qui tien la corde replie le plus possible sur le corps pour gagner en impulsion. La main qui tient le bois doit faire contreforce pour que la tension de la corde soit maximale. Ensuite, c'est une question de visee, et de pratique...

Au moment de lacher le jet, Sunn entreprit un petit coup de bassin sur la Toshiya, qui devissa completement sa visee et tira dans le decor. A peine une seconde plus tard, un lourd et bruyant "Aiiiiiie !" retentit. Le postérieur d'un inconnu venait de subir la dure loi d'une flèche pointue...


Etsuko - Nan mais ça va pas ? On ne pousse jamais un archer, c'est super dangereux, j'aurais pu le tuer !

Elle lui passa un savon. Sunn se sentit rapetisser au fur et à mesure, si bien qu'à la fin il souhaitait pouvoir se faufiler entre les brins d'herbe, et disparaître pour apaiser la honte de son acte puéril. La jeune femme, visiblement remontée, lui vocifera d'aller guérir la pauvre victime. Après tout, il était Eisei, et c'était à lui de gérer ça...

Etsuko - Je suis désolée, cet imbécile m'a poussée au moment de tirer la flèche. Mais qu'est-ce que vous faisiez derrière les cibles aussi ? C'est pas un endroit pour traîner ça

Sunn - Vous inquiétez pas, elle a ses règles, c'est pour ça...

Etsuko - QUOI ?!?
Yamaneko Toshiya

Yamaneko Toshiya


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MessageSujet: Re: Des flèches dans le popotin...   Des flèches dans le popotin... EmptyMer 23 Mai - 16:33

Il n'y avait pas meilleur prédateur que l’araignée. Froide, patiente et surtout, sans honneur, elle tuait ses cibles quoi qu'ils arrivent et surtout, avec une efficacité terrifiante. Dans le monde des hommes, les Toshiya étaient ceux qui se rapprochaient le plus de l’araignée à tel point qu'ils l'avaient prise comme symbole. En effet, tout comme l'animal, les Toshiya étaient capable de faire preuve d'un sang froid hors du commun lors d'un acte qui en ferait fuir plus d'un. Le meurtre était leur passion, leur raison de vivre depuis des siècles. Cet art était transmit de génération en génération par les hommes et les femmes les plus compétents que le clan connaissait. Ainsi, c'était sans surprise que des génies faisaient par moment leur apparition et émerveillaient les plus jeunes de leur tâche sublime mais ténébreuse. Partout dans le monde on connaissait les assassins de l’araignée à la tête de lion et c'était tout naturellement qu'un village ninja se montra cupide vis-à-vis de ces êtres si supérieurs. Oui, car il ne fallait pas se mentir, un Toshiya était bien plus qu'un vulgaire shinobi que l'on endoctriné des son plus jeunes âges à exécuter les ordres sans réfléchir. Un Toshiya n'avait aucun maître, il avait une famille, il n'avait pas de chaîne, il avait un foyer et c'est pour toute ses différences que les Toshiya était bien supérieur aux autres. Mais malgré tout, ceux-ci avaient su rester humble. La demeure Toshiya n'était pas un immense château comme bâtissaient la plus part des familles fortuné, sans doute par soucis d'anonymat, les Toshiya avaient préféré conserver une demeure simple tout en se réservant l'espace nécessaire pour les jeunes recrues. C'était le cadre parfait pour s’entraîner tout en conservant une certaine discrétion.

C'était dans ces murs que Yamaneko avait vu le jour. Fils de deux Toshiya qui s'étaient aimés des le premiers jours, il avait hérité du talent de ses parents tout en prenant certain attrait de leur personnalité. Ainsi bien que la beauté mortel qui lui servait par moment en mission lui venait de sa mère, son caractère dit « de merde » lui venait surtout de son père. A plusieurs reprise on avait demandé à sa mère comment elle faisait pour supporter deux gaillards aussi exubérant, elle le répondait avec un tendre sourire que « les apparences sont souvent trompeuses avec les Toshiya ». Et il est vrai que le père avait un cœur d'or qui battait au fond de sa poitrine. Très tôt, il avait éduqué à son fils les arts du meurtres et de la calomnie afin dit-il de « le préparer au mieux pour la vie qui l'attendait ». Mais cette entraînement n'avait rien avoir avec les clichés de violence sur le corps pour soit disant durcir le cuir, jamais le père n'avait levé la main sur son fils et encore aujourd'hui, les blessures avaient épargné le jeune homme. Enfin jusqu'à ce moment ou une flèche vint se planter malencontreusement dans sa fesse droite...

La douleur était indéfinissable pour le chuunin qui subissait cela pour la première fois. Il voyait son sang couler sur le sol herbeux, cette vision le fit entrer dans une rage folle, comment avait-il pu subir sa première blessure au sein même du pays de la foudre, encore pire, si prêt de Kumo et sans doute par un allié ! Aussi maladroit soit-il, cet allié allez devoir payer... D'un geste sec et tout aussi douloureux, l'homme enleva le projectile qui s'était enfoncé dans sa chair, d'un œil connaisseur, il scrutait la moindre parcelle de bois qui constituait la flèche, il ne faisait aucun doute pour lui qu'elle était d'origine Toshiya, mais il lui paraissait impossible que l'un de ses cousins et pu tiré de façon si maladroite, sauf si bien sûr, celui-ci avait voulu l'atteindre, dans ce cas là, il devrait se préparer à subir son courroux...

Et voici que les coupables faisaient leur apparition. Yamaneko les imaginaient fier et orgueilleux, ravi d'avoir atteint leur gibier. Mais la réalité en était tout autre, ce n'était que des mioches à peu plus jeunes que lui qui avait fait mumuse avec un arc... L'un deux étaient eisei et s’adonnait déjà à son art pour fermer la plaie, le Toshiya restait passif et écoutait ce que les deux protagoniste racontait. Ainsi par leur parole, il pouvait se faire un dessein de ce qui s'était passé. Mais malgré tous ses efforts à rejeter la faute sur son partenaire, la Toshiya n'en restait pas moins fautif aux yeux du chuunin. Tenant encore fermement l'arme du crime dans sa main et s'entend la douleur se calmer prestement, il était temps de faire pleuvoir sa colère sur les deux débiles qu'il avait en face. D'un bon coup de rein, il repoussa le maître eisei avant de lui enfoncer avec puissance la flèche dans l'épaule, ainsi il pouvait à présent ressentir les dégâts que son idiotie avait causé. Il laissa le garnement visiblement surprit au sol avant de dévisager des yeux la seconde.

Yamaneko – Et depuis quand les Toshiya se cache derrière de basse excuse, lorsqu'on ne sait pas utiliser son arc on le laisse pour un autre plus digne que soit ! Espèce de traîné... Tu crois vraiment qu'on te laissera dégainer ta flèche sans rien dire en mission ?

Et il pouvait continuer comme cela encore longtemps, mais il avait décidé que des actes valaient mieux que des paroles aussi crues qu'elles étaient. De sa main droite il déplanta la flèche encore présente dans le corps de l'autre abruti alors que de sa main gauche il dégaina son arme, un arc long lui offrant une puissante de frappe suffisante pour transpercer n'importe quelle armure. Aussi vite que le vent, ses doigts tendirent la corde et expulsa une flèche qui vint s'incruster dans la cime d'un arbre à plusieurs dizaine de mètre de la.

Yamenko – Si tu n'es pas capable de corriger ta position de tir selon la situation, tu ne vaux pas mieux qu'un amateur.
Senritsu Isatsu

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MessageSujet: Re: Des flèches dans le popotin...   Des flèches dans le popotin... EmptyMer 23 Mai - 17:36

(PS : Sunn est Chuunin hein, c'est pas vraiment un mioche, meme s'il a un caractere a la con Razz)


La blessure fut vite reparee, sans aucune sequelle, mais alors que Sunn etait sur le point de terminer sa tache, l'inconnu decida d'appliquer la loi du Talion. On entendit un petit cri, suivi de bonds sur place et de grognements de colere ou de frustration, voire des deux a la fois.

Sunn - Mais vous etes barge ou quoi ? Ca fait mal, ca va pisser le sang, et une epaule c'est plein de nerfs de vaisseaux sanguins ! Votre derriere, c'est que de la graisse, ca se repare en deux secondes, une epaule ca prend au moins une heure, sans compter les risques, et puis bla bla bla...

Il etait parti dans les meandres d'un monologue typique de ses reactions lorsqu'il etait enerve. Incapable de tenir sa langue, meme si c'etait pour ne rien dire. Il s'assit en tailleur, tout en maudissant le monde, cette fleche, les Toshiya, Kumo, de s'etre reveille ce matin, et au passage de la mediocrite des nouilles du restaurant plus bas dans la rue qui mene a la place aux fleurs. L'inconnu etait grand, imposant, le regard plutot pas cool. Etsuko avait une sensation bizarre. Bien qu'il etait difficile de reconnaitre un Toshiya aux premiers abords, tant le clan avait ete l'objet d'integrations de membres divers aux morphotypes varies, elle avait eu l'intuition, des le depart que l'homme qu'elle avait devant elle en faisait partie. Cette sorte d'arrogance, ces yeux un peu froids, tout cela lui rappelait Sanyu-sama, son pere.

Yamaneko – Et depuis quand les Toshiya se cache derrière de basse excuse, lorsqu'on ne sait pas utiliser son arc on le laisse pour un autre plus digne que soit ! Espèce de traîné... Tu crois vraiment qu'on te laissera dégainer ta flèche sans rien dire en mission ?

Oui, tout comme son pere... La meme verve blessante, les memes insultes inutiles. Et plus que tout, les memes doutes sur sa competence. De toute la famille, Etsuko avait toujours pense qu'elle etait tombe sur le parent le moins proche des ideaux de la famille. Lorsqu'elle avait commis l'irreparable, il y a trois ans, et avait pris d'une meme salve la vie de leur ennemi et de son binome, Sokkai, le clan lui avait porte a defaut de soutien, au moins un certain degre de dignite, et meme si nombre d'entre eux s'etaient detournes plus ou moins d'elle en l'ignorant, elle avait pu compter sur le soutien de Tezuka-sama, ainsi que sur quelques personnes qui comprennaient le lourd poids de la culpabilite qui la rongeait, encore aujourd'hui, pour avoir tue la source de son bonheur en ce monde. Son pere n'avait pas fait partie de ses soutiens, au contraire. Dans le clan Toshiya, le defaut le plus horrible ne faisait pas partie des peches capitaux. La tare a eviter a tout prix, c'etait l'incompetence. Etre traitee de trainee par cet homme ne l'effleura donc meme pas. Remettre en cause ses capacites, en revanche, la mit dans une colere folle. Car s'il etait une qualite qu'elle avait prouve a son clan depuis son arrivee a Kumo, c'est que l'erreur, au-dela de la preuve de l'incompetence, et tant qu'elle ne tue pas, est la source du plus beau des progres.

Il aggripa soudainement son arc, decrusta la fleche de l'epaule de Sunn qui se lamentait encore et toujours sur sa condition de pauvre mortel, et tira une fleche quelconque dans la cime d'un arbre plus loin. Un tir precis, ce qu'on attendait de tout Toshiya en somme.


Yamenko – Si tu n'es pas capable de corriger ta position de tir selon la situation, tu ne vaux pas mieux qu'un amateur.

C'en etait trop. Se faire traiter d'amateur par un craneur qui ne connaissait rien d'elle et de son parcours, elle ne pouvait le laisser passer. Et plutot que de se defendre en paroles d'excuses vaines et qui ne feraient que raviver le feu, elle aggripa simplement In'Ki, sortit trois fleches de son carquois, banda son arc en une fraction de seconde, puis decocha les trois traits d'un meme mouvement. Les fleches sifflerent au vent, avalant la distance a une vitesse folle.

Etsuko - Si vous n'etes pas capable de comprendre que de l'erreur vient le progres, alors vous ne valez pas mieux que tous les autres.

Elle releva Sunn d'un mouvement de bras, pour qui l'epaule etait deja presque soignee et comme neuve. Elle n'etait plus une neophyte. Et si il fut un temps ou elle doutait de ses capacites, elle ne s'embarrassait desormais plus de pareilles dispositions. Maintenant, elle se forcait a croire en elle. Elle n'etait qu'une Toshiya moyenne en termes de competences. Mais si certains excellaient par leur talent inne, naturel, elle se concentrait sur le reste : le travail, la modestie, la justesse.

Elle ne regarda meme pas le resultat de son tir. Elle le connaissait. Du haut de la cime tronaient fierement trois fleches plantees dans le bois, en triangle, a quelques centimetres seulement de la premiere tiree par le Toshiya inconnu. Elle tendit son bras, en guise de salut. Libre a lui d'y repondre ou non.


Etsuko - Etsuko, enchantee.



(PS : Je me base sur mes capacites Tir Fulgurant / Bombardement / et mes 41 en DEX pour me permettre de faire un tir aussi classe Razz )
Yamaneko Toshiya

Yamaneko Toshiya


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MessageSujet: Re: Des flèches dans le popotin...   Des flèches dans le popotin... EmptyLun 28 Mai - 15:21

A croire qu'elle n'avait rien compris cette pauvre fille... L'erreur n'est pas permis dans leur profession, une erreur et c'était la mort assuré du groupe. Non, il lui fallait réussir, quitte à se tuer à l’entraînement ou encore à se couper un sein comme les anciennes histoires, mais non de dieu elle devait réussir. L'homme la regarda, la jugeant du regard alors que celle-ci se présentait à lui. Qu'allait-il bien pouvoir lui faire ? L'insulter ? La châtier ? La frapper ? Ou tout cela à la fois?L'idée lui traversa l'esprit et le fit sourire, mais le nom de la jeune femme retint un instant son attention. Etsuko Toshiya, celui-ci en avait rapidement entendu parler. Une genin de Kumo ayant des capacités, mais faisant preuve d'un manque de confiance en elle la conduisant à des problèmes que la plupart des genins n'ont jamais rencontré. Sans parler de son paternel, un brin colérique même pour Yamaneko... Oui... cela ne faisait aucun doute pour lui que la petite avait du potentiel, mais peut-être que si on enlevait son balaie du cul, ou qu'au contraire, qu'on la sodomisait un peu plus, cela la décoincerait un peu... Allez petite, va connaître le bonheur putain !

Finalement, il décida d'agir un peu, pour elle et puis l'aider un peu serait pour lui l'occasion de s'amuser. Il s'empara de son bras et de son regard glacial, il ne pu s'empêcher de revenir sur ce tire « extraordinaire » que tout Toshiya digne de ce nom faisait les yeux fermé.

Yamaneko – Bras pas assez puissant, angle de tire un peu trop relevé, je dirais que cela frôle la perfection, mais cela n'est pas suffisant pour une Toshiya.

Il eut un court sourire au lèvre à la fin de son discourt, oui oui, il aimait lui briser les ovaires. C'était même son activité favorite, c'était bien plus amusant que d'assassiner quelqu'un car cela demandait de la discrétion et le jeune homme ne supportait pas cela... Au plus grand malheur de sa partenaire qui, elle était aussi silencieuse qu'une moule échoué sur la plage.... Bon d'accord, la comparer à une moule était assez grotesque, mais c'était cela qui était drôle !

Yamaneko – Je suis Yamaneko Toshiya, Chuunin instructeur de Kumo. En gros, je suis ton boss et tout ce que tu veux. Tu vois, si tu étais un minium jolie je t'aurais bien demandé de te déshabiller, mais dans l'était actuel des choses...

Oui, bon d'accord, c'était un bien beau mensonge, mais vous l'avez bien regardé ? Vous croyez vraiment qu'un type comme Yamaneko allait dire à une femme qu'elle était « jolie » ? Rien qu'à l'idée cela lui donnait des nausées, non la au moins, il maintenait sa réputation de briseur de couille professionnel, c'était plus gratifiant et beaucoup plus amusant que de faire tomber les minettes amoureux, car après tout, pour les parties de jambes en l'air, y'avait les demoiselles qui en faisaient leur métier... En plus, c'était des professionnels, on avait l'assurance que cela était bien fait. Une fois, Yamaneko c'était même fait remboursée car il trouvait la gonzesse un peu trop... tendre. Oui, il aimait lorsqu'il y avait du piquant, vous savez, les menottes et tout le reste ! Oui, bon d'accord, c'est un peu exagéré, mais en gros c'est cela.

Il eut un sourire presque machiavélique à ce moment, son regard était posé sur Etsuko, il l’imaginait déjà à poil, occupé de se faire prendre par dérrière, les cheveux tiré et elle gueulant comme pas possible... Ah, un jolie spectacle qu'il en serait... Bon popole calme toi...Merci...

Yamaneko – Bon écoute, j'ai entendu dire que tu étais encore Genin et donc que t'allait certainement participer au prochain tournoi Chuunin. Il est hors de question que tu fasses honte au clan en terminant deuxième, tu vises la première place ou tu dégages. Alors pour cela je suis peut-être enclin à te baiser... euh à t'aider un peu. C'est pas de gaieté de cœur que je fais cela, mais la, il y a urgence d'après ce que mon cul à subit... Alors miss conne, t'en dit quoi ?
Senritsu Isatsu

Senritsu Isatsu


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MessageSujet: Re: Des flèches dans le popotin...   Des flèches dans le popotin... EmptyMar 29 Mai - 14:02

Au lieu de redescendre de son pied d'estale et de rattraper le coup par un peu de modestie, voila qu'il grimpait encore plus haut le long de l'echelle, du cote de la vanite et de l'arrogance. Il aggripa le bras de la jeune femme, comme on attrape une courgette, ou un ours en peluche. C'est a dire sans le moindre respect.

??? – Bras pas assez puissant, angle de tire un peu trop relevé, je dirais que cela frôle la perfection, mais cela n'est pas suffisant pour une Toshiya.

* Mais pour qui il se prend ? *

Etsuko eut d'abord envie de protester, puis lorsqu'elle considera le tir que son interlocuteur avait effectue quelques secondes plus tot, elle se dit qu'il n'y avait absolument rien a repondre. En capacites pures, tous deux possedaient la meme habilite au maniement de l'arc Toshiya, avec un petit plus du cote de la precision pour Etsuko, lorsque l'inconnu faisait preuve d'une puissance de penetration plus prononcee. Bref, un statut quo, et certainement pas de quoi pavaner en donnant des conseils d'une utilite douteuse. Elle le regarda d'un visage aussi neutre que possible. Avec ce genre d'individus, la victoire s'obtient par la frustration. Ne jamais lui donner ce qu'il cherche, jusqu'a ce qu'il s'enerve, tant et si bien qu'il en perd la face. Comme son pere, pour lequel elle avait eu une bonne quinzaine d'annees de pratique intensive. Il relacha l'emprise sur son bras.

Yamaneko – Je suis Yamaneko Toshiya, Chuunin instructeur de Kumo. En gros, je suis ton boss et tout ce que tu veux...

Elle ne reagit pas plus. Un chuunin, et alors ? Elle aussi avait le niveau d'un Chuunin, autrement dit qu'il soit son superieur hierarchique n'enlevait absolument rien au fait qu'il n'etait pas en position d'exiger quoi que ce soit. Un Toshiya qui se focalise sur son grade en plus, quelle drole de facon de penser. Etsuko percevait de plus en plus Yamaneko comme un Toshiya qui s'etait egare, sur des chemins bien loins des valeurs de son propre clan.

Yamaneko – Tu vois, si tu étais un minium jolie je t'aurais bien demandé de te déshabiller, mais dans l'était actuel des choses...

Oui completement perdu. La part de mepris qui grandissait en elle se changea subitement en pitie. Comment un Toshiya pouvait en arriver la ? Elle avait deja rencontre quelques imbeciles dans son clan, des gens avec qui elle ne partageait pas grand chose. C'est courant, cela arrive, rien de bien mechant. Mais un homme aussi repugnant que celui qu'elle avait devant elle, c'etait la premiere fois. Provocation, ou verite, elle n'accorda, une fois le choc auditif passe, que peu d'interet a tout cela. Mais Sunn, qui etait reste en retrait pour le moment, lui n'avait pas compris le second degre de la chose, et commencait deja a s'avancer vers le nouveau venu.

Sunn - On va voir ce qu'il a dans le ventre, le Chuunin de mes deux.

Etsuko - Non !

Elle le repoussa d'une paume de main autoritaire, il ne comprit pas, et repartit a la charge. Elle reitera son objection. Hors de question qu'il joue le jeu du Toshiya. Elle allait le battre avec ses propres armes, sans aucune violence. Il ravala sa fierte, et se detourna de sa pulsion premiere, se contenta de gromeller avant de s'eloigner, comprenant que la discussion qui avait lieu ici ne pourrait pas le concerner. Histoires de famille...

Yamaneko – Bon écoute, j'ai entendu dire que tu étais encore Genin et donc que t'allait certainement participer au prochain tournoi Chuunin. Il est hors de question que tu fasses honte au clan en terminant deuxième, tu vises la première place ou tu dégages. Alors pour cela je suis peut-être enclin à te baiser... euh à t'aider un peu. C'est pas de gaieté de cœur que je fais cela, mais la, il y a urgence d'après ce que mon cul à subit... Alors miss conne, t'en dit quoi ?

Tiens, il avait entendu parler d'elle ? Elle n'etait pourtant pas tres connue dans le village. Du coup, les rumeurs et les histoires du clan devaient certainement en etre a l'origine. Et maintenant, il lui proposait son aide ? Il etait temps de contre-attaquer.

Etsuko – J'en dis qu'un micropenis aurait bien du mal a atteindre mes exigences, et que la honte du clan n'est peut etre pas exactement la ou tu le penses.

Elle lanca un regard rapide vers les parties genitales de l'homme, avant de remonter le visage a hauteur du Toshiya, tout en conservant aussi innocent que moqueur.

Etsuko – Allez viens Sunn.

La kunoichi tourna les talons sans crier gare. S'il voulait l'entrainer, Yamaneko allait devoir mettre de l'eau dans son vin. Et vu le pouvoir erotique qu'elle avait suscite en lui, il ne tarderait pas a reagir. Ne jamais montrer ses faiblesses d'homme a une femme, autrement, le boomerang revient, impassible, en plein dans la face de celui qui l'a lance.

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