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 Sanae Hanaerobi

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Sanae

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MessageSujet: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi EmptyVen 10 Mai - 13:06

Edit: en cours de détermination d'un emblème familial. Ca sera soit l'un, soit l'autre. Merci Hyûma!

Sanae E. Hanaerobi





Sanae E. Hanaerobi





Présentation
Je m’appelle Hanaerobi Sanae. Je suis une jeune femme de 20 ans. Je suis devenue ce que je suis parce que je suis trop bien élevée pour dire non à mes parents.





« Et toi, qu’est ce que tu comptes faire, dans la vie ? »

Eh bien. Quand on lui posa la question pour la première fois, la petite Sanae, six ans et demi, était restée bien silencieuse. Ses précepteurs avaient pourtant toujours eu affaire à une élève réactive.

Qu’à cela ne tienne. Elle n’avait pas besoin de rêves, ni d’ambition. Son cocon doré se chargeait déjà de tout pour elle.

Le commerce des Hanaerobi avait commencé il y a quatre, cinq générations de cela, dans l’échoppe freelance d’un petit négociant en matériaux de la capitale économique du pays. La ville de Boya était alors en pleine expansion sur ses périphéries sud et nord-est, et Ginkaku l’ancien, accompagné de quelques autres entrepreneurs d’avant-guerre, su en profiter pour faire fructifier son affaire. Certains diraient qu’il se tua à la tâche pour y parvenir, mais il parvint à établir seul le nom des Hanaerobi dans les chantiers de Boya.

Comme nombre d’empires, l’affaire se transmit à la descendance, formée en interne, pour continuer faire prospérer la famille. Ca n’avait rien d’un empire, mais l’échoppe parvint à prendre une taille fort respectable au fil des décennies, et ajouter quelques branches à son activité traditionnelle.

Dans ce tableau, le jeune Chozan Hanaerobi était destiné à prendre la relève lorsque le jour viendrait. A dix-sept ans, il commençait tout juste à être introduit dans le monde des affaires par son père. Plein d’appréhensions, Chozan n’en restait pas moins un jeune homme énergique et combatif. Ses pairs comme ses précepteurs louaient sa rigueur au travail, et lui promettaient déjà le même avenir qu’à ses parents.

Sa grande sœur, quant à elle, était libre de faire ce qu’elle voulait de sa vie. Ou à défaut, ne rien faire du tout. C’était davantage sur cette voie qu’elle se trouvait depuis quelques années. Sa position de petite bourgeoise lui promettait une existence confortable, et elle avait été trop bien élevée pour se hasarder à satisfaire des excentricités sans nom. A ce train, elle se marierait avec un bon, peut être même un excellent parti. Elle n’était pas vraiment belle, ni vraiment mignonne, mais restait bien assez jolie pour plaire au regard des amateurs du genre.

A partir de là, elle occuperait probablement le même rôle de maitresse de maison qu’elle tenait en ce moment même, en l’absence de sa mère morte il y a sept ans de cela.

Les quelques domestiques de la demeure l’adoraient, et elle gouvernait tout ce petit monde efficacement. Sa bienveillance spontanée relevait tous les impairs qu’elle pouvait encore commettre, et elle ne commettait jamais deux fois la même erreur.

Outre cela, elle n’avait rien à faire de particulier. Parfois, elle s’ennuyait. Ca n’était pas si mal. C’était des journées mornes et sans surprise. Elle s’estimait chanceuse, car elle n’était pas niaise.
Elle n’avait même pas besoin de quitter la ville pour avoir un aperçu de ce qu’offrait souvent le monde aux plus défavorisés. Elle n’avait jamais eu faim, et était assez frileuse pour toujours avoir de lourdes robes, ou une couette où se blottir si le besoin s’en ressentait. Tout le monde était très sensible à son bien-être, autant parce qu’elle le méritait que parce qu’ils étaient payés pour ça.

Sa vie aurait très bien pu continuer ainsi.

Malheureusement, les ninjas sont arrivés.

Avec leurs lots de conflits démesurés, d’assassinats politiques, d’intrigues inexpugnables visant à écarter tous ceux qui pourraient menacer leur daimyo…

Et, accessoirement, le plus grand boom économique de ce siècle.





*
* *






-Des ninjas, c’est genre?
-Ils se sont offert des titres assez… prétentieux, expliqua Sanae. Guerriers de l’ombre, maîtres de l’occulte, assassins, furtifs. Ils seraient capable de réaliser des prouesses surhumaines, faire usage de la magie, et…
-Ouais, moi aussi je sais lire un journal, merci pépète.
-A quoi bon me poser la question, alors?
-D’ailleurs à ce propos, je trouve ça vachement ‘zarb que des mecs qui te vomissent des torrents de lave sur la tronche et fassent apparaître des koalas géants se fassent appeler « guerriers de l’ombre ». Niveau discrétion, tu repasseras, quoi.
-J’imagine…
-Et ton père a dit quoi?

La jeune femme se leva du tas de coussins où elle s’était assise, et entreprit de servir le thé dans deux tasses bien remplies. Elle avait beau se trouver dans la demeure de sa plus vieille amie, le sens de l’hospitalité de cette dernière laissait encore bien à désirer. De même, son degré de familiarité était inadmissible pour une demoiselle d’aussi bonne famille.

Étrangement, plus personne n’y prêtait attention, depuis le temps.

Les membres de la famille Ashikaga s’étaient associés aux Hanaerobi il y a quarante ans de cela. Les deux négociants en poste sur cette période avaient alors participé à une transaction commune avec le pays de l’eau, et en avaient profité pour faire naufrage ensemble dans la foulée. Tout ça était une longue et laborieuse histoire qui s’était très mal déroulée.

Forcément, une dette de sang réciproque, ça créait des liens.

-Euh… je vais peut être devenir ninja.
-Kwaaaaa?

Oboro Ashikaga manqua de s’étrangler dans sa tasse, aussi hilare que surprise. De l’humour? Non, Sanae n’avait aucun talent pour les blagues. Ni pour les mensonges. Et était assez prudente pour ne jamais s’avancer sans savoir de quoi elle parlait.

A première vue, Hanaerobi était aussi gentille qu’ennuyeuse. Pour quelqu’un qui adorait parler, se plaindre de tout et de rien, et disserter à l’occasion sur des sujets variant de l’impact économique des shinobi au séduisant beau gosse de la petite fête d'hier soir, c’était la partenaire idéale.

Accessoirement, Sanae était assez calme pour exercer son influence sur la turbulente Oboro. A l’inverse, Ashikaga dynamisait souvent le rythme de vie de son amie.
Elles s’entendaient trop bien.

-Géant! Raconte moi ça cocotte, j’ai les oreilles grandes ouvertes. Ca veut dire, quoi, peut être?
-Eh bien… Papa veut installer l’affaire à Konoha. On garde le siège à Boya, mais comme la ville des ninjas va rapidement prendre du volume… imagine leurs besoins. Les montants que ça concernerait. Et ce que ça pourrait rapporter.
-Je vois très bien, ma grande, répondit Oboro avec des pépites d’or dans les yeux. Trèèèès bien. Parait que le daimyo a fait pas mal de déclarations à ce sujet, l’autre jour. Il voit très grand pour sa petite ville de bourrins. Et les bourrins ont l’air de bien aimer les sous, de leur coté.
-Quelque chose comme ça, voilà. Pour autant, ce sont des… ninjas, pas des marchands. J’imagine qu’entre leurs assassinats et leurs démonstrations de force, ils n’ont pas autant de temps que ce qu’il faudrait pour gérer tout ça.
-Ah ça! Eh, à mon avis ça doit carrément grouiller de lèches bottes et de magouilleurs qui veulent rentrer dans les petits papiers du daimyo. Ca doit leur pomper un max d’énergie. Parait que y’a déjà un clan qui s’est fait nommé direct pour avoir le monopole de la surveillance dans la ville.
-La surveillance?
-Euh… sécurité, médiation, ou… un truc comme ça, chais plus où j’l’ai entendu.
-Ca m’a pas l’air très clair, tout ça. Où est-ce que tu as entendu ça?
-Trucs de ninjas, cherche pas, ils se la jouent déjà top secrets
. M’bref. Et toi, dans tout ça?
-Moi quoi?
-Qu’est ce que tu ficherais chez les ninjas?
-Je suis censée… euh… servir de… vitrine. En quelque sorte.
-Eh. Traduction, s’il te plait?

D’habitude très négligente, Oboro était pour cette fois entièrement absorbée par la conversation. Elle abandonna la contemplation de son reflet dans une vitre, qui renvoyait l’image de la trop grande jeune femme à l’impeccable chevelure d’ébène.

Visuellement aussi, elle détonait aux coté d’Hanaerobi. Oboro dépassait de peu le mètre quatre-vingt treize, ce qui la plaçait vingt centimètre au dessus de Sanae. Elle se vengeait généralement en annonçant qu’elle avait les formes, elle, mais aborder le sujet sans tact restait généralement une très mauvaise idée.

-Konoha a actuellement deux grosses affaires, des compagnies types matières premières qui appartiennent toutes les deux à des clans de ninjas. Vu où est située la ville et les ressources de la région, ça va forcément se développer, ça tient du cadeau pour eux. Pour autant… c’est aux ninjas. On a déjà vu ce que donnaient les compagnies des clans de samourai. Ils n’auront pas envie de partager leur marché.
-Ouais, ça sent bon la chasse gardée, tout ça. M’enfin ça serait con de leur part, quand même. Ils gagneront plus à laisser les bonnes affaires s’installer dans leur ville qu’à garder leur petit magot pour eux. Même pas sûre qu’ils sachent gérer ça.
-Grand-père a dit la même chose. Mais selon lui, ça finira de la même manière qu’avec les samourai dans leurs régions: surtaxes, quotas, autorisations données en pots de vin, et fermetures de commerces plus ou moins... forcées.
-Au final, ils en ont rien à battre et veulent juste se blinder les coffres, donc. Tcheuh. Et donc, si j’ai bien compris… laisse moi deviner. L’idée c’est que tu deviennes ninja et fasse office d’ambassadrice pour faire partie des privilégiés? S’installer avant qu’ils ne balancent le protectionnisme?
-Quelque chose comme ça, oui. Grand père avait très vaguement… suggéré… quelque chose dans le genre « profites-en pour te trouver un bon parti chez les ninjas pour entériner la chose », mais Papa s’est énervé.
-Vieux grigou. Haha. Comme si on allait laisser les viocs choisir pour nous. Eh bah amuse-toi bien chez les bourrins, hein! Imagine ce que ça pourrait donner. J’rigole trop si dans six mois, tu deviens capable de me balancer des boules de feu ou de ruiner des gars qui font trois fois ta taille au bras de fer… genre Sanae la Broyeuse Sanguinaire. T’imagine?
-Pitié… je n’ai pas du tout envie de rire de ça.


Les deux demoiselles continuèrent encore un long moment à plaisanter sur le sujet, chacune essayant de pronostiquer en combien de temps il était possible pour quelqu’un de devenir un shinobi. Tout ça leur paraissait tellement lointain qu’elles ne pouvaient guère se fier qu’aux rumeurs qui entouraient la mystique des ninjas.

Pour autant, même si elle riait de bon cœur, Oboro sentait bien que quelque chose trottait dans la tête de son amie. Et elle se sentait bien de lui faire cracher le morceau.

-Mmmh… il y a juste une chose. Je croyais que tu saurais, mais visiblement ça n’est pas le cas.
-De quoi tu causes?
-Alors d’abord, tu dois savoir que je me trompe peut être, d’accord? Tu restes calme. C’est par rapport à ce que m’a dit mon père.
-Aboule.
-Tu ne crieras pas, hein?
-Bien sûr que je ne crie pas. Arrête avec ça. C’est vraiment la seule image que je donne de moi, la furie hystérique? J’peux être aussi douce et délicate que toi, cocotte.
-Seulement quand tu as quelque chose à demander. Ou devant des garçons…
-Mauvaise langue!
Alors?
-Eh bien, de ce qu’il m’a dit, tes parents ont prévu la même chose pour toi. Tu viens aussi à Konoha. Pour devenir ninja. Comme moi.
-…………………

Sanae fronça les sourcils, craignant… elle ne savait pas trop quoi. Elle avait l’impression d’avoir manipulé une bombe, et de ne pas avoir réussi à prendre toutes les précautions qui s’imposaient. L’autre jeune femme la dévisagea curieusement, s’attendant visiblement à ce qu’elle poursuive sa phrase. Pourtant, elle n’avait rien à ajouter. Elle pouvait simplement lire sur les traits de son amie le raisonnement qui se tenait dans son esprit. Déjà, il lui fallait réaliser ce que ça impliquait. Aller à Konoha, ça signifiait aussi quitter le confort de Boya. Sanae n’appréciait guère cette idée, et l’autre avait très certainement la même opinion sur le sujet.

Mais clairement pas la même façon de l’exprimer.






« PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!
C’ESTQUOICEBORDELQU’ESTCEQUEJ’APPRENDS?!?!?
CHACAL-DE-TRAÎTRE-DE-VIENT-CAUSER-A-TA-FILLE-RASCAL-DE-MES-DEUX-CA-VA-BARDER-D’OU-C’ESTQU’ON-M’A-PAS-PREVENUE-D’ABORD-ESPECE DE #&@%$§¤#&@%$£§!!!!!»





*
* *






-Putain, j’arrive pas à croire qu’on y soit. Bientôt. Aaaaarh… ninjas. Toutes les deux. Nan mais tu réalises?
-Bien sûr que non, répondit inlassablement Sanae en se lovant encore un peu plus sur la banquette de leur coche.

La caravane qui faisait route vers l’est n’avait rien d’exceptionnelle. Avec tous les dangers qui rodaient dans la nature, les commerçants étaient naturellement portés à mutualiser leurs moyens dès lors qu’il s’agissait d’acheminer des denrées d’une région à une autre. Parmi ces « moyens » figurait généralement, outre les chars et bêtes de trait, une escorte aussi intimidante et bon marché que possible. Les habitués avaient leurs contacts, mais mêmes des relations de longue date pouvaient s’effiler face à concurrence décuplée qui faisait rage depuis quelques années.

Jusqu’ici, les patrouilles samourai faisaient des merveilles lorsqu’il s’agissait de combattre et traquer les pilleurs. Mais ça n’avait jamais été suffisant. Et ça l’était nettement moins depuis que les ninjas les avaient affaiblis, sans encore avoir l’envergure nécessaire pour les remplacer efficacement sur l’ensemble du territoire.

Ils n’étaient pas assez nombreux, tout simplement. Ca, quiconque avait l’habitude des voyages s’en était très vite rendu compte. Les routes n’étaient plus aussi sûres qu’avant.

Outre les marchands, plusieurs voyageurs se greffaient généralement aux convois. En fonction de la somme qu’ils étaient prêts à débourser, ces derniers pouvaient aussi bien voyager parmi les sacs de marchandises que de bénéficier d’un chariot aménagé, comme nos deux futures guerrières.

-Allez, c’est pour bientôt. Réveille-toi, cocotte!

Bercée par les cahots réguliers du coche, la jeune femme avait passé prêt de la moitié du voyage en siestes. Oboro, au contraire, se sentait de plus en plus excitée au fur et à mesure de leur approche. On leur avait annoncé qu’ils arriveraient en vue du village dans moins d’une demi-heure. C’était tout juste l’affaire d’une colline, désormais.

L’impatience la rongeait au point qu’elle ne décollait plus la tête de la fenêtre. Et finalement, elle laissa échapper une longue exclamation.

A son tour, Sanae regarda, l’esprit encore embrouillé par le sommeil. Un seul mot lui vint pour qualifier le village.

-Euh… c’est… petit?
-Ouais.
-Et…
-‘Tain, c’est ça Konoha? La super cité ninja? Mais c’est… c’est… c’est…

Ashikaga donna l’impression de s’étrangler. Curieuse, Hanaerobi se leva à son tour pour contempler le village ninja à travers le rideau. Après toutes les histoires qu’elle avait entendues sur le compte des shinobi, elle s’attendait à voir quelque chose de vaste, de grandiose, à couper le souffle.

Les shinobi étaient des surhommes, après tout. Riches. Et très recherchés pour leurs services.

De ce fait, leur forteresse principale ne pouvait définitivement pas être la petite bourgade qu’ils approchaient.

-UN BLED TOUT POURRI? BORDEL MAIS C’EST MICROSCOPIQUE! ET ON A SIGNE POUR CA? C’EST MOOOOORT, JE VEUX RENTRER!
-Calme-toi. Une chose à la fois.
-Nan mais tu réalises? Les frérots se retrouvent catapultés Big Boss dans le commerce des darons, alors que nous on se retrouve paumées dans un trou perdu peuplé de… de… ah bah bonjour le sexisme! ON S’EST FAITES ENFUMEES COMME DES SARDINES! Ils nous ont b&#@sées!
-Ca ne peut sûrement pas aussi horrible que ça, voyons. Arrête de hurler.
-Mais c’est tout petit! Chuis sûre ils ont pas de ciné!
-Bah.
-Ni de biblio!
-On achètera des livres. Si c’était juste ça le problème…
-Ni de salon de thé!
-Là tu râles pour râler. Je dirais plus que c’est gênant pour les affaires. Je n’arrive pas à voir s’ils ont des chantiers, des travaux dans le…
-Ptêtre même pas de salon de coiffure! Et dis, tu vois des bains, d’ici?
-… ?!?

Pas de bains. La jeune femme resta un moment silencieuse. C’était absolument hors de quest…

Non.

Elle avait toujours fait preuve d’un comportement exemplaire dès lors qu’il s’agissait d’être la jeune femme modèle qu’on attendait sur tous les fronts. Toujours. Au point tel qu’elle l’était devenue. Douce, délicate, attentionnée, sensible et attentive. Intelligente, bien sûr. Aussi gracieuse que lui permettaient généralement les circonstances, et calme en tout point tout honneur.

Son père l’avait envoyée ici pour une excellente raison. Elle deviendrait kunoichi. Ce qui lui serait d’ailleurs extrêmement bénéfique.
Il n’y avait pas lieu d’en dout…

-Les bains sont en travaux, confirma l’une des escortes.
-Je veux rentrer, déclara sombrement Sanae. Tout de suite.
-Ah, tu vois?
-Ca ne va pas être possible, mademoiselle.
-S’il vous plait?
-Votre père nous a payé pour un voyage et une escorte en aller simple. Uniquement.
-Je vous paierais le double au retour.
-On vous paiera le triple, renchérit l’autre jeune femme.
-Je pense que mon chef déclinera, sourit le garde. Il préfère rester en bonnes relations avec vos parents. Ils nous emploient bien assez comme ça.
-Mmmh…
-Rhoo… incorruptible, vraiment?
-Tout à fait, mademoiselle.
-Pad’jeu.

-Le convoi ne va pas faire demi-tour. Ils continueront jusqu’au nord.
-On peut venir avec vous?
-Laisse tomber, Oboro…





Dernière édition par Sanae le Ven 10 Mai - 15:33, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi EmptyVen 10 Mai - 13:50

Bonjour ! Comme c'est une présentation plutôt récente et qui avait déjà été modifiée par rapport au nouveau contexte, est-ce que tu peux m'indiquer si tu as fait des modifications ?
Sanae

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MessageSujet: Re: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi EmptyVen 10 Mai - 14:30

Aucune, juste retiré dans l'en tête quelles étaient mes voies et le fait que j'étais ninja. A terme, je rajouterais peut être des descriptifs physiques et comportements, mais ne toucherais pas au récit.
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MessageSujet: Re: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi EmptyVen 10 Mai - 14:43

L'avantage d'avoir été validée il n'y a pas longtemps, c'est que c'est beaucoup plus rapide pour moi. Validation de la présentation et ajout au groupe de Konoha. Welcome home.
Ibuki Senjago
Aspirant de Konoha
Aspirant de Konoha
Ibuki Senjago


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MessageSujet: Re: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi EmptyJeu 8 Aoû - 2:39

Ren Uchiha a écrit:
Bonjour Sanae,

Pour cette présentation, tu te mérites 34 xp's.

Cordialement,
Moi
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MessageSujet: Re: Sanae Hanaerobi   Sanae Hanaerobi Empty

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