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C'est de l'ironie là Iba ?

Car dans un sens il a raison, mettre la pression peut forcer l'excellence, mais si c'était pas de l'ironie je me tais xD

Pas du tout, je trouve la mesure judicieuse, car il est évident que certains pensent déjà à leur second mandat alors qu'ils n'en sont pas à la moitié du premier, alors une fois le deuxième acquis se doit être la même chose. D'ailleurs, Chirac hésitait à se représenter. Après est-ce que se sera efficace, seul l'avenir nous le dira Smile

Tu fais bien de me le rappeler Iba ^^

Me semble que dans la constit que m'avais filé ma prof, ce changement y était, j'sais plus, y'a trop de truc xD

Pour rentrer dans votre petit débat, on peut trouver ça judicieux, mais on peut également trouver ça étrange, du fait que je dirais qu'il ne faut confondre vitesse et précipitation, et qu'en voulant bien faire, le président aille trop vite. Il n'a qu'un mandat, voire deux, il fonce ^^

C'est un point de vue. J'suis pas sûr que j'en sois convaincu hein xD

Oui mais un président qui se dit qu'il peut être réélue ne sera pas forcément très actif et peut être aussi très lent.

La pression sera alors bénéfique.
Sarkozy a d'ailleurs dit qu'un seul mandat lui suffisait. EN vouloir toujours plus n'a pas une envie de garder le pouvoir et ses avantages ? CE qui veut dire que l'on délaisse les citoyens pour un profit personnel chose inacceptable du point de vue de la présidence.

Au final, une réduction peut forcer la réflexion, mais ce que tu dis n'est pas faut Sab' mais et quand même assez vaste, car les années sont assez longue pour avoir du temps pour réfléchir tout de même.

Ce que j'ai dit... je ne le partageais pas spécialement ^^

C'est grâce à des lois constit comme celle-là que Bush ou Poutine ne se représentent pas alors tu sais ^^

Citation :: Sarkozy a d'ailleurs dit qu'un seul mandat lui suffisait.

xDDDD

Pour foutre ** ***** ça doit pouvoir lui suffire oui Very Happy

Naaaaan pas de parti priiiiii sur le foooofoooo. Excusez mon manque d'impartialité Pas cool

Dernière édition par Sabi le Mer 10 Déc - 0:27, édité 1 fois

Pfff aller d'où il fait de la merde ?!
Dis pas ça s'il te plait Wink

Le sujet est clos. Je pense que l'on dérive. MPez vous s'il le faut, sinon j'efface les messages. Se serait bête de faire tomber les stats de Sabi XD

J'ai édité. Encore désolé ^.^

Iba Hiyori a écrit:: Se serait bête de faire tomber les stats de Sabi XD

Me tente pas Iba :p

Raaa mais arrêtez avec mes stats xD C'est juste un jeu, je m'en fous moi >.<

Retourne bosser ! :p

Ceci n'est pas du flood sur la partie devoir ...

Citation :: Les élections : la fin de la démocratie ?

D’élection, on peut parler du fait d’être sorti vainqueur d’une compétition électorale. On est alors élu. C’est également la procédure par laquelle des électeurs portent leurs suffrages sur les candidats qu'ils chargent de représenter dans des assemblées administratives de ressort et de compétence variables. L’élection en ce sens existe depuis déjà de nombreuses années, mais elle varie de ses modes de fonctionnement : on peut parler de suffrage capacitaire, de suffrage censitaire, ou de suffrage universel. Dans une Démocratie, nous nous intéresserons au suffrage aujourd’hui universel masculin et féminin, parce qu’il est celui qui se rapproche le plus de ce que décrivait Abraham Lincoln de la Démocratie : « le gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple ». Nous pouvons tirer deux principes déductifs : celui de représentativité, qui permet une organisation particulière avec des représentants, qui parlent au nom des représentés (le peuple, les citoyens) ; celui de compétition politique, de compétition électorale. Ces deux principes forment le propre de l’élection, et c’est sur eux que nous nous attarderons pour répondre au sujet.

On peut donc voir deux sens au sujet : les élections, d’une compétition politique et électorale, peuvent être alors l’aboutissement le plus poussé de la Démocratie, en ce sens que la Représentation électorale est le meilleur et le plus achevé de tous les moyens connu afin de vérifier la définition de Lincoln du « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » ; un second, dans le sens où les élections auraient des limites, et ne donneraient aux citoyen que l’illusion d’être en Démocratie, de part le principe de représentativité.

Ainsi, comment le principe de représentativité permet-il aux élections d’être à la fois un achèvement et une limite de la Démocratie ? Nous essayerons de répondre à cette question en deux parties : la première par la possibilité démocratique que confère une élection aux représentés ; la seconde en expliquant comment la professionnalisation du champ politique créer une fracture entre représentants, et représentés.

I. Par des représentés qui élisent.
A. Par des élections libres, égalitaires, concurrentielles et pacifiques : apparition du suffrage universel masculin, puis féminin (Histoire sociale du suffrage universel, Alain GARRIGOU, Paris, Seuil, Coll. Points, p. 109-122).
B. Par l’hétéronomie des représentants : il n’est le délégué du groupe seulement parce que les électeurs le font exister (« Homogénéité et hétérogénéité du personnel politique », Après-demain, Daniel GAXIE, Dec 1997)
C. Par la domestication de l’électeur : depuis de nombreuses années on « apprend » progressivement à l’électeur l’acte citoyen du vote (« La construction sociale du vote », Politix, Yves DELOYE, Olivier ILH, Alain GARRIGOU, vol.6, n°22, p.5-42).

Après avoir démontré que lors d’une élection, toutes les cartes reposent encore dans les mains des électeurs, par le système mis en place, nous nous attacherons à comprendre comment, malgré ces grands principes, il existe une rupture dans le débat politique qui peuvent s’opposer aux valeurs démocratiques.

II. Par des représentants professionnels et spécifiques.
A. Par La délégation : la compétition électorale demande des compétences précises et complexes que le représenté ne comprend pas toujours (« La délégation et le fétichisme politique », Actes de la Recherche en Sciences Sociales, Pierre BOURDIEU, n° 52-53, p. 49-55).
B. Par un choc social : l’intéressement du peuple au débat politique relève également du caractère social des électeurs (Le cens caché – inégalités culturelles et ségrégation politique, de Daniel GAXIE, Paris, Editions du Seuil, 1978).
C. Par le caractère autonome du représentant : il fait exister le groupe et atteste de son existence. Il parle en son nom et à sa place (La Démocratie représentative, de Daniel GAXIE, Collection Clefs Politique, Montchrestien).

La représentation est sûrement le meilleur moyen existant pour réaliser un gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple, ce que nous appelons une démocratie moderne. Devant l’immensité du projet, elle est une possibilité simple et efficace de reporter une grande majorité de la volonté de chaque électeur dans les assemblées législatives. Cependant, la demande toujours plus précise de compétences adéquates à demandé une professionnalisation des élus qui marque cette rupture de compétence dans le débat politique entre les représentants et les représentés. Mais de manière générale, celui qui se propose reste toujours dépendant du vote de ceux qu’ils représentent, et trouvera toujours matière à trouver des points communs avec son électorats, ainsi qu’à rendre ses idées, plus claires et énoncées de sorte que chacun les comprenne. Cette relation aigue entre aliénation de l’homme politique à son domaine de compétence, et à la nécessité d’être élu tanguera toujours, et l’on ne peut affirmer avec certitude que les élections représentent un achèvement ou un une chute de la démocratie.

Objet demandé : plan détaillé avec phrase qui résumé l'idée et un autour ou document afin de l'illustrer, accompagné d'une intro et d'une conclusion.

Hésitez pas à dire ce que vous en pensez ^^

Ton plan est excellent. Tu enchaines avec des références et tout c'est parfait.
Mais ton intro n'est pas trop longue ?

Je la trouve un peu petite moi, au contraire...
Mais je ne me rends pas compte de ce que ça fait sur papier, donc...

Sinon, le reste est super ^^
À quand la rédaction complète ? XD

Elle n'est pas demandée ^.^

L'intro me semble plutôt correcte : définition des termes, enchaînements avec les rapportes entre eux, problématiques et plan. On laisse ainsi hein Very Happy

Je ne sais pas si ton prof sera très fan de la syntaxe de la première phrase drunken

Je vais changer ça XD

Composition d'histoire.

"La France et son empire colonial." (1945-1962).

La prof d'histoire m'a dit que j'avais pas le droit d'avoir moins de 19
drunken

J'ai pas encore trop réfléchis au sujet je vous l'avoue. J'attaque demain matin Very Happy

.

Oula Kenji, attention au sujet, je me souviens d'une discussion sérieuse sur ce point-là....

Cool

Hum... Avec une bonne base de cours derrière, je pense que c'est un sujet assez simple ^^
D'autant plus qu'il y a matière à bien développer, surtout avec la période demandée, qui n'est pas très étendue dans le temps ^^

oui, un plan Asia VS Afrique se dessine déjà dans mon esprit.

@Sabi: Dans les devoirs j'évite de mettre trop de point de vue personnel ^^

Après mure réflexion (bon ok 15 minutes Razz

)

Je pensais faire :

I/ La décolonisation en Asie le début d'une fin certaine.
1/ Les revendications après la seconde guerre mondial
2/ Les difficultés en Indochine

II/ La décolonisation en Afrique, un autre genre pour une autre époque.
1/ L'antagonisme par rapport à l'Indochine. L'union des pays d'Afrique noir.
2/ Des affrontement sanglant au margrehb.

Ccl: Ouverture soit sur le tier monde, soit sur la Guerre Froide, soit sur le mouvement des non-aligné.

Quelqu'un fait du droit ?

Du droit de quoi ? En ce qui concerne le droit du travail, j'ai quelques connaissances...

Question de ma sœur : "Dans une fiche de jurisprudence, on retranscrit le visa de la cour de cassation ans l'introduction ou dans la décision ?"

Après je ne sais pas si c'est du droit du travail ou pas... Smile

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