[Ouah! J'ai été très branché sur les autres Rp, tellement que j'en avais oublié ton message ^^]

Oroken regardait de quelle façon Akogare allait menat sa barque. Il était habile et lui sauvait sûrement la vie sur ce coup. Encore que s'il avait fallut se battre, fille ou non, serveuse ou catcheuse, dans un bar ou dans une rue, l'étudiant l'aurait fait avec tout ce qu'il avait.

Akisa semblait être une personne intelligente mais tellement extravagante que ça anihilait toute chance de tenir des raisonnements dignes de ce nom. Ca tournait toujours au n'importe quoi et ça ressemblait à une sorte de folie pour le jeune garçon qui, finalement, devait sûrement moins s'en remettre que la Chuunin à qui il avait fait la remarque.

Akogare termina sa démarche orale par une affirmation qu'Oroken ne jugeait pas forcément juste. Ce n'était pas tant qu'il voulait absolument se battre mais il ne se sentait pas de supporter plus longtemps autant d'activité, marrante au départ, lourde et envahissante au final. Il était temps qu'elle se calme la pile électrique.

Oroken quitta ses pensées pour revenir sur la question d'Akogare. Il y réfléchit, se perdant à nouveau tout seul dans son esprit et revint à la surface quelques secondes plus tard. Il reprit la conversation d'un ton neutre.

[Oroken] Et combien de personnes on raté l'occasion de se taire, ce à plusieurs reprise? Il y en a plus d'un concernés. Le pire c'est qu'ils ne se rendent pas forcément compte que c'est en trop.

Sans vouloir viser qui que ce soit, Oroken avait lancé cette phrase en fixant son verre vide sur lequel il passait et repassait son doigt. Il leva enfin les yeux et les balada depuis Eiko jusqu'à Akisa.

[Akogare] - Ils n'ont pas à s'en rendre compte. Ils suivent leur propre chemin, sans se calquer sur ce que les autres attendent d'eux. C'est sain, au contraire.

Il haussa les épaules. Akisa demeurait parfaitement silencieuse, tellement qu'elle aurait très bien pu s'être endormie.

[Akogare] - J'ai été des deux côtés, de ceux qui ne parlent pas et de ceux qui parlent trop.

Eiko qui, par miracle, avait encore un verre à moitié plein, but une gorgée.

[Akogare] - Si j'ai déjà regretté de n'avoir pas parlé, je n'ai jamais regretté d'avoir trop parlé. La raison est très simple : le premier cas renvoit les remords sur soi, le second sur les autres.

Akogare sourit.

[Akogare] - Et je préfère ne rien avoir à me reprocher.

Son regard se porta sur les serveuses, sur sa droite.

[Akogare] - Que ce que tu dises mène à, je sais pas, une guerre ou quoique ce soit, si tu sentais sur le moment que tu *devais* le dire et bien... tout va bien.

[Eiko] - C'est une vision très--égoïste.

Akogare hocha la tête.

[Akogare] - Ce n'est pas faux. Mais je préfère être en paix avec moi-même qu'avec les autres. C'est *ma* vie.

Le regard que lui lançait Eiko le faisait sourire. Ce n'était pas de la colère ou de la méfiance, mais plutôt une curiosité grandissante. Akisa grogna.

[Akisa] - Hu, mon Ako est un sale petit égoïste. C'est... laid.

Elle sourit et referma les yeux.

[Akogare] - J'ai pas prétendu être parfait. Et j'ai un autre défaut...

[Eiko] - Prétention ?

[Akogare] - Non. Je fatigue vite.

Il jeta un coup d'oeil à Oroken.

[Akogare] - Je vais pas tarder. Des trucs à faire à la maison.

Akisa, dont les sens pour ce genre de choses devaient être plus aiguisés que la moyenne, grogna une seconde fois. Plus menaçante. Le Chuunin l'ignora prudemment.

Oroken écoutait attentivement encore une fois. Il baladait son regard sur les trois personnes et se nourissait de la conversation. C'était impressionant de voir qu'en quelques secondes on pouvait passer d'une longue série de blagues et de boutades à une conversation plus sérieuse et dans le calme.

Akogare semblait connaître le sujet traité. Encore une fois, quelque chose sur quoi il avait une idée, une position qu'il défendait avec ses propres moyens et sa personnalité. Eiko traitait son comportement d'égoïste quand il s'agissait des rapports qu'il avait avec la parole.

*Jusqu'à présent, je n'ai rien eu à me reprocher. A part peut-être dire à Uruki que je le trouve profondément con, mais ça peut attendre je le recroiserai sûrement.

Quand j'étais petit oui... Mais... Je ne pouvais pas l'assumer.*

Oroken serra le poing et son visage s'assombrit. En un instant il venait de se plonger dans ses souvenirs d'enfance. Ceux-là même où il côtoyait de trop près les mains de cet immonde homme qui portait le statut de père. Ce gros enfoiré qui n'aurait pas hésité à lever la main sur sa propre mère si elle était intervenue pour protéger le petit.

Oroken expira un peu plus longuement et énergiquement, le temps d'une fois. Il se résigna à sa condition en se disant qu'il n'aurait pas cette volonté s'il n'avait pas connu un passé comme celui qu'il portait. Lentement il desserra sa main dans laquelle le sang avait afflué en grande quantité. Sous la colère, il avait même commencé à charger son membre en chakra.

[Akogare] ...Je fatigue vite. Je vais pas tarder. Des trucs à faire à la maison.

Oroken leva les yeux pour laisser sa main seule à son sort. Il regard Akogare et lui fit un petit signe affirmatif de la tête. Il tourna ses yeux sur toute l'assemblée et ajouta.

[Oroken] Moi aussi je pense... J'accuse le coup de la journée là.

A peine terminait-il la phrase qu'il portait déjà une main à sa poche à fermeture éclaire et en sortait un billet qu'il posa sur la table.

Akogare écarta gentiment Akisa, laquelle demeura assise pendant qu'il se levait. Il chercha un moment dans sa poche.

[Eiko] - Je vais payer, laisse.

[Akogare] - Nan, j'ai assez - on fait le même boulot !

Elle lui sourit, paya sa part et l'argent d'Akogare tomba également sur la table.

[Akisa] - Vous pouvez pas payer, hein. Baki est gentil. Et puis vous êtes avec Ako.

Elle hocha la tête, comme si elle venait d'avancer un argument de poids. Akogare sourit, elle se leva à son tour. Il y avait toujours aussi peu de clients. C'était très curieux, aux yeux du Hyuuga, qu'une fille aussi dynamique choisisse de travailler dans un endroit aussi paisible.

[Akisa] - Tu reviendras me voir, hein ?

Elle avait les yeux légèrement plissés.

[Akogare] - Ouais ouais... pas de soucis. Pas trop de boulot.

[Eiko] - Effectivement, maintenir l'ordre dans le village, les patrouilles et bien sûr, les papiers administratifs à régler c'est 'pas trop de boulot'.

[Akogare] - J'aime quand tu es d'accord avec moi.

Il se tourna vers Akisa, la serra dans ses bras pendant un moment. Il sourit à l'un des clients qui devait, sans doute, se demander si c'était un service habituel de l'endroit, le fait de serrer contre soi les serveuses.

Akogare espéra de tout son coeur qu'il n'est pas la folie d'essayer avec elle. Sans lâcher Akisa, mais en portant son regard sur Eiko puis Oroken il déclara.

[Akogare] - Une soirée agréable.

[Eiko] - Oui, j'avais vraiment craint le pire.

Il désigna du menton Akisa, qui avait de nouveau fermé les yeux contre sa poitrine.

[Akogare] - Et le pire est arrivé.

[Akisa] - Tu parles de moi là, je le sais.

Il ne répondit pas et s'écarta. Akisa allait retourner dans sa cuisine, derrière les rideaux. Ou alors, plus vraisemblablement, elle irait s'asseoir avec ses amies.

Et là, le petit bar tranquille deviendrait... ce qu'il devait être.

Chacun déposait sa part pour les consomations. Akisa soutenait que ce n'était pas nécessaire mais bon, personne n'en tint compte. Akogare, Eiko et la servsue s'était levés. Oroken les regarda un instant toujours assis et les rejoint juste après.

Il regarda la Chuunin, l'autre et la serveuse qui se serraient l'un contre l'autre. Il tourna ensuite la tête vers la sortie qu'il voyait déjà venir. Akogare intima qu'il avait passé une bonne soirée. Oroken ne répondit rien. Il ne parlait plus. Sans doute parce que dans son esprit il s'attardait encore sur la dernière conversation qu'ils avaient eue.

Au moment où ils se préparaient à partir, l'étudiant fit un signe de tête à Akisa en guise de au revoir, sans plus de parole ni de cérémonie. Au fon elle était sympathique, il fallait juste trouver le bouton pour l'arrêter. Le jeune garçon marcha jusqu'à la porte et sortit sous les remerciements d'une ou deux employées. Une fois dans la rue, il attendit les deux autres.

[Oroken] C'était sympathique comme moment. Merci.

Il ajouta un signe du chef que l'on distingua peu à cause de la pénombre et ne se préoccupant pas de savoir dans quelle direction chacun partait, il s'eclipsa, estimant qu'il avait déjà trop traîné avec eux et qu'ils voulaient peut-être parler de choses qui ne le regardaient pas, comme ils en avaient parlé tout l'après midi.

Dans la fraîcheur de la nuit tombée, dans la pénombe des quelques raccourcis qu'Oroken connaissait, les pas était silencieux. Konomura rentrait tranquillement ne pensant qu'à une chose, son lit. Il ne pensait même pas passer par la salle de bain, c'était trop tard.

[Merci Ako pour ce Rp. J'ai vraiment beaucoup aimé. Je l'ai trouvé fandard ton perso ]

Akisa leur fit de grands signes de la main alors qu'ils s'éloignaient. Elle était contente : elle avait encore l'odeur d'Akogare sur elle. Elle soupira et se passa une main rêveuse dans les cheveux. Quel gâchis qu'il ne se mette pas avec elle. Il y gagnerait tellement en... enfin.

La jeune fille se détourna, Baki était dans l'encadrement de la porte, les bras croisés sur la poitrine. Les rideaux en perles qui l'encadraient lui donnaient une teinte surnaturelle.

Elle grimaça intérieurement. Il allait encore l'accuser de... de quoi exactement, d'avoir fait tomber une étagère de stupides factures ? d'avoir était l'origine de la furie d'un client fortuné ? Eh ! c'était pas de sa faute si elle jeune, jolie, naturellement avenante et, il faut bien l'avouer, gentiment maladroite.

Akisa effaça précautionneusement son sourire de sur ses lèvres, elle se rapprocha de Baki, la tête basse.

[Baki] - Jeune fille...

Il avait un ton menaçant et l'adolescente dût se mordre les lèvres pour ne pas sourire. Elle mit ses mains dans son dos et observait la pointe de sa chaussure écraser le parquet, comme si elle était gênée.

[Baki] - J'attend tes explications.

Akisa se jeta contre lui. Il mit une seconde pour se rendre compte qu'elle pleurait à chaudes larmes. Elle était agitée de terribles hoquets et les clients restant se tournèrent vers eux. Quelques uns le regardaient sévèrement.

[Akisa] - Ako il.... Ako il... m'a... Il est parti !

Une quinte de toux interrompit lamentation. Baki, stupéfait, ne put que refermer ses bras sur le frêle dos de la jeune fille et lui donnait de petites tapes rassurantes.

[Akisa] - Il ne... m'aime pas !

Elle ouvrit pour la première fois ses beaux yeux verts, tout troublés de larmes. De profonds sillons creusaient ses joues maquillées et des ombres noires s'étaient formés sous ses paupières. Sa bouche se tordit alors que ses mots étaient engloutis dans de nouveaux sanglots.

[Baki] - Hum... Allons, Akisa. Tu es jeune, très jolie et absolument charmante. Ako, eh bien, c'est un gentil garçon mais... pas pour toi.

Elle pleura de plus belle et se serra très fort contre l'homme. Il fut surpris qu'une si petite femme puisse posséder des bras aussi puissants.

[Baki] - Allez, va essuyer ton visage, hein ? Tu vas pas rester comme ça ? Allez, souris !

Akisa se moucha dans la veste de son patron, lequel retint dignement une grimace. Elle murmura des remerciements puis, s'en prévenir, se hissa sur la pointe des pieds et embrassa Baki sur la joue.

[Akisa] - Tu es très gentil Baki.

Elle se passa une manche sur les yeux et l'homme, gêné, s'engouffra de nouveau dans la réserve. Il passerait certainement la soirée à ordonner les factures.

Akisa fit quelques pas sur le côté, soprtit son mouchoir et s'essuya avec attention le coin des yeux et les joues. Elle trottina jusqu'à un grand miroir et reprit soins.

Elle releva la tête quelques minutes plus tard, sourit devant le résultat et jeta son mouchoir. Ses yeux se posèrent par terre, elle retint un cri. Avec une vitesse étonnante, son talon s'abattit sur la tête d'une petite bête à la carapace dorée. Fendue en deux, elle se débattit durant de longues secondes puis expira finalement. Akisa soupira, ravie, et atteint ses amies.

[Eri] - Pauvre Baki... Il doit s'en vouloir.

Akisa rit.

[Akisa] - Arrête ! Je lui fais le même truc toutes les semaines, tu penses qu'il y croit encore ?

Akogare : +56 XP RP.
Oroken : +41 XP RP.

J'ai beaucoup aimé aussi

Information : il n'y a désormais plus de frais de consommation, vous pouvez poster comme s'il s'agissait d'un endroit normal.

12H30…

A la suite d’un parcours beaucoup trop lent à mon goût, je me trouvais dans le centre ville. Le paradis des grands buveurs. Malgré la très grande réputation des bars de Kumo, les bars de Konoha servaient de très bonne bière et un cocktail que seuls les chefs connaissent la recette. Enfin bref je ne suis pas ici pour vanter les bars de Konoha. A part l’ambiance habituelle, seul un petit commerce entre deux bâtiments semblait faire des affaires monstrueuses.

*Quel article peut-il bien vendre pour y avoir autant de monde ? Cela me semble louche.*

[Vendeur] « Venez ! Venez ! Je suis le seul marchand à pouvoir vous proposez le célèbre livre, Le paradis de la drague volume 2 ! Bien sur à prix choque ! Seulement 20£ ! »

*Tiens donc il semblerait que la chance soit de mon coté. Je ne vais pas l’approcher directement. J’ai une meilleure idée.*

[Oni] « Bonjour mon bon monsieur. Dites moi, mon père tiens une petite entreprise dans le quartier et il m’envoie pour essayer d’acheter tous les livres du paradis de la drague. »

[Vendeur] « A oui ? Votre père ne serait pas ce bon vieux Hiromida ? »

[Oni) « Bien sur que non. J’ai même entendu qu’il avait perdu tous un chargement de livre. Ces affaires vont en prendre un coup et c’est pourquoi mon père veut frapper un grand coup en achetant tous les Paradis de la drague en circulation. »

[Vendeur] « Votre père est donc un rival de Hiromida. Vous savez j’ai d’autre bouquin qui pourrait intéresser votre père. »

[Oni] « Notre boutique n’a pas les moyens de se payer tous ce qu’elle souhaite. Nous puisons dans nos fonds pour payer ces livres. Nous souhaitons donc acheter ces livres. »

[Vendeur] « Je comprends mais vous savez, je ne peux pas me séparer d’un tel chiffre d’affaire. A moins que vous n’y mettez le prix. »

[Oni] « Nous y mettrons bien évidemment le prix. Quel serait votre prix ? »

*Pour le moment tous va pour le mieux.*

Du monde se pressait autour de son échope, c’est formidable. Il se découvrait la fibre commerciale, il était doué pour quelque chose pour la première fois de sa vie. Le livre se vendait bien, il faut dire que c’est de la haute qualité. Quelle chance ! Et pas l’ombre d’un ennui à l’horizon.

Sa tactique était simple, crier, appater le client pour vendre un maximum en un minimum de temps. Ca c’est du business de professionnel. Il était heureux et fier de son coup.

Un ado aux cheveux rouges se frayait un chemin parmi la foule, et il réussit à lui parler entre deux ventes. C’est vrai qu’il est débordé maintenant. Il devait satisfaire la gent masculine. Peut-être devrait-il garder un livre pour lui ?

[Oni] « Bonjour mon bon monsieur. Dites moi, mon père tient une petite entreprise dans le quartier et il m’envoie pour essayer d’acheter tous les livres du paradis de la drague. »

Il se tourna vers lui. Ses propos étaient du moins très intéressants. Ses ventes étaient déjà connues des commerçants.
Ce petit lui proposait une bonne alternative. Après tout il vendrait tout en une seule fois et dans une heure il serait déjà loin.

[Petit ricaneur] « Montre-moi l’argent et on vera après. »

En même temps ce petit vaurien lui enlèverait le seul travail pour lequel il s’amusait et était plutôt doué. Et puis les clients n’étaient pas à l’abri d’une petite augmentation. Une troupe de touriste passait justement par là.

[Petit ricaneur] « Paradis de la drague volume 2 Edition limitée seulement pour 25£ ! » *Héhé les touristes, de vrais portefeuilles sur pattes*

Le rouquin était encore là.

[Petit ricaneur] « Dépêche toi de ramener l’argent de ton père sinon je garde tout ! »

Les livres se vendent comme des petits pains ici.

[Petit ricaneur] « Dépêche toi de ramener l’argent de ton père sinon je garde tout ! »

*Décidément, il ne pense qu'a l'argent celui la. Je me demande si je ne ferais pas mieux de le mettre K.O tous de suite. Mais les clients pourraient mal comprendre mon geste.*

[Oni]"Je vais aller l'appeler tous de suite. Je vous tiens au courant."

[Petit ricaneur]"Oui oui c'est cela. Alors! Qui veut le paradis de la drague volume 2 pour seulement 30£?"

*Je vais appeler Naoki, on ne sera pas de trop à deux pour l'emmener au poste de police.*

Après mettre éloignais suffisamment pour que le vendeur ne puisse m'entendre, je remis l'oreillette de la radio que m'avait confié Naoki.

[Oni]"Naoki? C'est Oni. J'ai trouvé le vendeur. Il faudrait que tu viennes au bar pour qu'on puisse l'immobiliser. Pour le moment il me prend pour un simple acheteur mais si je reste trop dans le coin il va commencer à avoir des doutes. Je vais t'attendre dans un bar à l'extérieur."

Je pris place à une table, en bonne position pour continuer à observer le vendeur ambulant. Celui ci était tellement omnibuler par c'est bénéfice qu'il ne fit même pas attention autour de lui.

*Il ne peut pas avoir voler tous ces cartons seule. Il n'est pas assez futé pour cela.*

[Serveuse]"Je peux prendre votre commande?"

[Oni]"Hein? A oui. Euh.." *Je n'ai pas déjeuner ce matin. J'ai la dalle.* "Alors je prendrais deux ou trois croissant et une bouteille de jus de fruit."

[Serveuse]"Je vous ramène cela tous de suite."

*Plus tôt charmant ce coin. Faudrait que j'y emmène Yona un jour.*

[Oni]"Ah je ne suis pas ici pour penser à elle."

*Cet imbécile ne se doute de rien. Il à pourtant voler plusieurs cartons du livre le plus attendu du moment. Ce n'est peut être pas le vrai voleur.*

[Serveuse]"Voici votre commande."

[Oni]"Merci."

*Naoki dépêche toi. J'ai un mauvais pressentiment.*

[Sources chaudes ]
13H15

Naoki courait sur les toits de Konoha pour aller plus vite. Il devait se dépêcher de rejoindre Oni qui avait repéré le vendeur des livres volés. Cette mission serait plus simple que ce à quoi il s’attendait finalement. Dés qu’il aurait rejoint l’étudiant, ils iraient capturer le voleur et dans moins d’une heure tout serait finit. Tout cela paraissait tellement simple aux yeux du Genin, qu’il était toujours persuadé que ce n’était qu’un test.

Il était maintenant dans le quartier qu’Oni lui avait indiqué. Naoki le chercha dans un des bars qui existait et finit enfin par le trouver.

[Naoki] « Me voila ! Alors il est où ce type ? C’est quoi le plan ? »

Naoki cédait un peu de son autorité sur l’étudiant mais il n’avait pas d’autre choix. Oni avait eu bien plus de temps pour réfléchir à ce qu’ils devaient faire pendant que son camarade venait le rejoindre.

Après plus d'une demi heure d'attente, Naoki pointa enfin son nez. Heureusement, le vendeur n'avait toujours pas bouger de place.

[Naoki] « Me voila ! Alors il est où ce type ? C’est quoi le plan ? »

[Oni]"Assis toi. Je finis mon petit déjeuner et on passe à l'action."

*Comment va-t-on faire pour l'arrêter? On ne sait pas si il a des complices. Pourtant on a pas d'autre choix. Allez prévenir les forces de l'ordre et revenir prendrait trop de temps.*

[Oni]"Je pense que nous n'avons pas d'autre choix que de l'interpeller. Voila comment on va faire. Je lui est déjà parler donc il ne se méfiera pas de moi, j'irais lui parler pendant que tu te glisseras derrière lui par les toits. Lorsque je donnerais le signal, tu l'assomme par un coup dans la nuque et tu l'emmène au commissariat le plus proche. Moi je resterais calmer la foule et je te couvrirais au cas ou il aurait des complices. Si tu es d'accord allons-y."

Je bus en vitesse mon verre de jus de fruit puis Naoki se propulsa sur les toits en attendant mon signal.

[Oni]"Me revoilà mon chére monsieur."

[Petit ricaneur]"Alors ton père est toujours prés à m'acheter tous mes livres?"

[Oni]"Oui. Il ma chargeais de vous dire le montant. Il est prés à payer... Naoki!

[Petit ricaneur]"Hein!!"

Oni sembla terminer son petit déjeuner calmement, comme si c’était une prioritaire à la mission. Puis, il sembla réfléchir en buvant son jus de fruit et ensuite il expliqua son plan.

[Oni]"Je pense que nous n'avons pas d'autre choix que de l'interpeller. Voila comment on va faire. Je lui est déjà parler donc il ne se méfiera pas de moi, j'irais lui parler pendant que tu te glisseras derrière lui par les toits. Lorsque je donnerais le signal, tu l'assomme par un coup dans la nuque et tu l'emmène au commissariat le plus proche. Moi je resterais calmer la foule et je te couvrirais au cas ou il aurait des complices. Si tu es d'accord allons-y."

Quelque chose clochait dans ce plan mais Naoki ne saurait pas dire quoi. Il ne pensait pas que ce soit une bonne idée de l’assommer et de l’amener au commissariat. Cependant, le Genin n’avait pas d’autre idée en tête à proposer, il fallait donc exécuter ce plan. Il monta sur le toit dans un coin discret pour ne pas se faire repérer, puis il se glissa derrière la boutique du vendeur.

L’idée de l’assommer le gênait : ça pouvait leur faire perdre beaucoup de temps s’il y avait d’autre complice et que le vendeur était K.O. pendant longtemps. Naoki essaya de jauger sa force : frapper à la nuque pour que le type soit assommé sans taper trop fort pour éviter qu’il ne soit dans les pommes trop longtemps.

[Oni] « … Naoki ! »

[Naoki] *Merde ! Je n’étais pas tout à fait prêt. Je descends.*

Le geste accompagnant la pensée, le Genin sauta au sol juste derrière le vendeur de livre volés.

[Naoki] « Je frappe, je le mets sur mes épaules et je me casse. »

Le tranchant de la main en avant, Naoki s’apprêta à assener son coup en visant la nuque et en pensant déjà à la suite de l’histoire. Sa main se raprochait à grande vitesse de la cible et il éspérait avoir bien doser sa force.

Il n’avait pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait. Un morveux venait de l’attaquer par derrière.

[Petit ricaneur] « Je me suis fait avoir ! »

Le bandeau sur le front du gamin l’éclaira très vite sur la situation. Il ne réclama pas son dû, sauta par-dessus son comptoir de fortune et chercha à prendre la fuite.

[Petit ricaneur] « Je pensais qu’on avait réglé le problème de la police… J’ai à peine eu le temps de vendre quelques livres. »


Peut être l’avait-il trouvé, mais l’attraper serait une autre affaire. Il connait la ville comme sa poche, ce sera facile de les semer.

[Petit ricanneur] « Poussez-vous ! Bande de minables, vous me gênez ! »

[Attaque surprise de la part de Naoki Le voleur subit 7 dégâts.]

[Le combat est enclenché dans les rues bondées de Konoha. Le voleur essaie de prendre la fuite, il déclare comme un étudiant mais possède l’initiative.
Le voleur est en situation de combat à distance avec les deux shinobis qui le pourchassent.
Des règles spéciales s’appliquent pour ce combat. Réflechissez bien et découvrez les par vous-même.
Depuis la réforme du système de combat, vous devriez m’envoyer vos actions par mp. Seulement dans ce cas exeptionnel vous pouvez donner vos actions dans votre poste comme dans l’ancien système. Les actions du voleur sont prédéfinies. ]

A la minute ou le vendeur avait vu le bandeau de Konoha sur le front de Naoki, celui ci se mit à fuir le plus vite possible comme ci il s'était préparé pour ce moment.

[Petit ricaneur]"Vous allez arrêter de me suivre?!"

[Oni]"Pas tant que tu sera venu avec nous au poste."


Après avoir heurter plusieurs passants et quelques poubelles, l'homme semblait de plus en plus fatigué. Certes, il n'était pas ninja mais malgré tous, il courrait drôlement vite.

*Il commence un peu à fatigué mais moi aussi. Il faut que je le calme ou sinon il va nous échappez.*

Il fallait que je tape un sprint. Plusieurs longues secondes passèrent, je réussis enfin à arriver à ces talons.

*Ce sprint ma exténué. Il faut que je le fous à terre.*

Je glissai sur le sol et lui mis un petit croche pied.


action 1: un sprint pour arriver à sa hauteur
action 2: croche pied

La main de Naoki s’abattit avec violence sur la nuque du vendeur mais ce dernier ne fut même pas sonner. Le sale type comprit dans quel situation il était lorsqu’il reconnut le bandeau frontal de Naoki et il décida de fuir.

[Petit ricaneur] « Je pensais qu’on avait réglé le problème de la police… J’ai à peine eu le temps de vendre quelques livres. »

[Naoki] *On avait réglé le problème de la police ?!*

Surprit par cette déclaration, le Genin resta figé quelques instants alors qu’Oni courut immédiatement à sa poursuite à travers la foule. Naoki devait se dépêcher s’il ne voulait pas perdre leur trace. La foule était trop dense pour les rattraper facilement alors le Genin courut sur les murs pour éviter de se heurter à des gens et pour pouvoir mieux repérer le voleur.

[Naoki] « Décidément, aujourd’hui j’aime bien me promener sur les toits. »

Naoki bondissait par-dessus la foule de mur en mur, allant de plus en plus vite. Il remarqua Oni, au sol, qui accéléra le pas et sprinta, se faufilant entre les gens avec aisance. Ils allaient rattraper le fuyard. Naoki sauta une dernière fois et imagina un ballon à la place de la tête du type qui s’enfuyait. Son pied prit de l’élan grâce à une légère rotation sur lui-même et il shoota avec force dans le front du voleur.

[Naoki] « Reprise de volée !!! »

[Naoki] *Il faut l’immobilisé… Le bunshin devrait suffire à dissuader cet idiot de s’enfuir.*

Naoki réalisa les signes qu’il avait apprit lorsqu’il était étudiant.

[Naoki] « Bunshin no Jutsu ! »

Pour la première fois, il venait de créer trois clones à la fois avec cette technique. Lui et ses clones encerclèrent le vendeur de livres volés.

[Action 1 : Courir sur les murs des bâtiments pour rattraper le voleur.]
[Action 2 : Donner un coup de pied dans le front de l’adversaire.]
[Action 3 : Réaliser 3 clones avec le Bunshin.]
[Je ne sais pas si encercler le voleur est une action en soit ; si non, j’éditerai.]

La course poursuite dans les rues de Konoha s'affola d'un coup. Tandis que le voleur faisait tout pour fuir l'équipe envoyée en mission se jetait déjà sur leur adversaire. Malheureusement pour eux celui-ci était plus rapide, sans doute grâce à l'expérience de plusieurs années de larcins.

Le voleur fuyait et fuyait encore, alors que ses opposants essayaient à tout prix de le rattrapper.

[Action 1 : Tous les joueurs se déplacent dans la même direction. La situation de combat à distance n'évolue pas]


Malgré les efforts de l'étudiant, l'adrénaline qui montait et propulsait son corps lui donnait des ailes et il rivalisait avec la vitesse des shinobis.

[Petit ricaneur] " Ils ne me laisseront donc pas tranquille. Dégage toi ! "

[Passante] " Mais ça va pas, vandale ! "

Il poussa une passante sur le côté, manquant de la renverser sur son passage. Il s'en était fallu de peu. Il court et court encore. Il se retourna rapidement pour repérer la distance qui les séparait. Les shinobis, chacun dans un style différent, l'avait visé et ont formé une figure accrobatique très impressionnante. Les coups qu'il avait esquivait de peu auraient pu lui être fatales.

[Petit ricaneur] " Mais ils sont malades ces gamins ! Inscrivez vous dans une équipe de foot morveux ! "

[Action 2 : Le voleur prend de la distance tandis que les deux shinobis frappent dans le vide. ]

[Petit ricaneur] " Ciao minus ! "

Un nuage de fumée mélangé à la poussière du sol freina sa course. Trois Naoki lui firent front rapidement. Il se stoppa net. Il bafouillait quelque chose d'inaudible. Trois ? Comment pouvaient-ils être trois identiques ? Des triplets ? Non impossible. Il fît demi-tour, mais les deux shinobis étaient déjà là.

[Petit ricaneur] " Quatre morveux, et un grand dadet, pas possible... "

[Action 3 : Trois bunshins ]

Ils l'encerclèrent rapidement, et se rapprochaient dangereusement. La tension montait, et l'adrénaline lui monta à la tête. Bientôt le creux au niveau de ses reins fût trop fort. Ses jambes fléchirent et il tomba au sol, en position foetale.

[Petit ricaneur] " Non ! Ne me touchez pas ! Je me rends, je me rends ! "

Autour d'eux, la course avait intrigué quelques curieux et ce final se finissait comme il se doit, sous les applaudissements du public conquis.

L'horloge indiquait 13H45.

[Bilan de la course poursuite :

Aucun passant gravement blessé.
Le voleur est attrapé.
Naoki -15 mp ]

[Petit ricaneur] " Non ! Ne me touchez pas ! Je me rends, je me rends ! "

Encercler le voleur avec de simples clones avait été une bonne idée. Naoki était plutôt fier de lui. Maintenant il ne restait plus qu’à éclaircir quelques points troubles aux yeux du Genin.

[Naoki] « Que voulait tu dire par : Je pensais qu’on avait réglé le problème de la police ? Qui est ce On et quel est ce problème régler avec la police ? J’avoue que ça m’étonne pas mal et si tu ne réponds pas à nos questions, il se pourrait qu’on, c'est-à-dire nous quatre, se fâchions tout rouge et se mettions à frapper le premier venu, c’est-à-dire toi. »

Naoki continua à bluffer vis-à-vis de ses trois clones qui ne pouvaient strictement faire aucun mal au voleur. Tant que le vendeur de livre pour pervers penserait le contraire, c’est le jeune Genin qui conservait l’avantage.

[Naoki] « Par exemple, nous pourrions lui briser quelques phalanges, hein les gars ? Et s’il ne veut vraiment rien dire, on le livrera aux Anbu et la je peux t’assurer mon gars que ce ne sera pas la même chose, tu pleureras pour qu’on te laisse raconter tout ce que tu sais. »

Naoki espérait que l’intimidation allait fonctionner car en réalité il ne souhaitait pas encore aller au poste de police. Ce serait un contretemps trop importants, il fallait d’abord lui tirer les vers du nez.

[Naoki] « Et en passant, si tu nous dis où se trouve la marchandise volée, peut-être qu’on ne t’amochera pas trop. »

Naoki n’en revenait pas d’avoir à sa merci un homme bien plus âgé que lui. Il proférait des menaces comme si c’était naturel et les trois clones en rajoutaient en faisant des gestes intimidants comme faire craquer ses doigts.

[Petit ricaneur] « Je ne sais rien, laissez moi partir… »

Son cri de désespoir venait du cœur. Ces ninjas lui faisaient froid dans le dos. Quand il pourra partir, il quittera Konoha pour toujours et ne mettra plus jamais les pieds dans un village caché.

Le bruit des phalanges qui craquent le fît frissonner.

[Petit ricanneur] « Ne me tape pas morveux ! Mes livres sont sous le comptoir, le reste je ne sais pas où il est je te le jureuh. »

La foule autour d’eux grossissait au fil des secondes. Le voleur se trouvait humilié devant la populace, parmis eux des ninjas qui ne comprenaient pas comment on pouvait avoir peur de simples bunshins. Un ninja, apparemment haut gradé, sortît du lot.

[Ninja] « Et petits, qu’est-ce que vous faites ? »

Ils expliquèrent rapidement le pourquoi du comment et pourquoi ils faisent ce qu’ils étaient en train de faire.

[Ninja] « Vous ne devez pas faire ça, encore moins ici. Cet homme est coupable, emmenez-le au poste de police alors. Mais vous n’êtes pas chargés des interrogatoires. » Il s’adressa d’abord à Oni. « Tu n’es même pas encore sorti de l’Académie. », puis à Naoki « et toi tu ne montres pas vraiment le bon exemple. Faites ce pourquoi on vous a engagé, et rien d’autres. »

Le ninja passa quelques secondes à dissiper la foule. Les autres jeunes ninjas étaient bien déçus de ne pas pouvoir assister à la suite du spectacle.

[Ninja] « J’ai bien réfléchi, je veux bien ramener votre voleur au poste de police pour vous si ça vous arrange. C’est sur ma route. Mais je n’ai pas vraiment de temps à perdre alors décidez vous tout de suite. »

[Naoki] « Que voulait tu dire par : Je pensais qu’on avait réglé le problème de la police ? Qui est ce On et quel est ce problème régler avec la police ? J’avoue que ça m’étonne pas mal et si tu ne réponds pas à nos questions, il se pourrait qu’on, c'est-à-dire nous quatre, se fâchions tout rouge et se mettions à frapper le premier venu, c’est-à-dire toi. »

*C'est vrai que je l'avais entendu dire un truc de ce style. Je pensais deja qu'il avait des complices, sa confirme donc mon hypothèse.*

[Naoki] « Par exemple, nous pourrions lui briser quelques phalanges, hein les gars ? Et s’il ne veut vraiment rien dire, on le livrera aux Anbu et la je peux t’assurer mon gars que ce ne sera pas la même chose, tu pleureras pour qu’on te laisse raconter tout ce que tu sais. »

*Pour un gosse de son age il est plus tôt effrayant.*

[Naoki] « Et en passant, si tu nous dis où se trouve la marchandise volée, peut-être qu’on ne t’amochera pas trop. »

[Petit ricanneur] « Ne me tape pas morveux ! Mes livres sont sous le comptoir, le reste je ne sais pas où il est je te le jureuh. »

[Oni]"En route alors."

[Ninja] « Et petits, qu’est-ce que vous faites ? »

*Il fallait que cela arrive. Quelle idée de l'interroger en pleine rue aussi.*

[Ninja] « Vous ne devez pas faire ça, encore moins ici. Cet homme est coupable, emmenez-le au poste de police alors. Mais vous n’êtes pas chargés des interrogatoires. Tu n’es même pas encore sorti de l’Académie. »

*Qu'es qu'il me veux lui? J'en est mare qu'il me prenne tous pour un débutant simplement parce que je n'est pas le bandeau.*

[Ninja] « J’ai bien réfléchi, je veux bien ramener votre voleur au poste de police pour vous si ça vous arrange. C’est sur ma route. Mais je n’ai pas vraiment de temps à perdre alors décidez vous tout de suite. »

[Oni]"On accepte. Nous avons des livres à ramener à leur propriétaire. Et de plus, je crois qu'il ne serait pas arriver en un seul morceaux au poste, n'es pas Naoki? Par contre je vais me tenir informé, et si il arrive quelque chose le concernant je vous tiendrez comme responsable. Maintenant allons y Naoki."

Nous sommes retourné à la petite échoppe du voleur et la foule était toujours présente.

[Oni]"Désolé messieurs, la boutique ferme ses portes."

[Foule]"Non, on n'a pas pu avoir notre livre."

Sans nous attarder, nous pris les quelques cartons restant et nous étions partis pour la petite bibliothèque de Mr Hiromida ou une récompense nous attendez.


Maison et bibliothèque Hiromida

Naoki n’avait aucune confiance en ce ninja inconnu. Il ne craignait qu’une chose : qu’un membre du poste de police était un complice. Peut-être que ce ninja en était un aussi ou peut-être que Naoki lui en voulait de l’avoir rabroué en public, tout simplement. Cependant même si ses soupçons était vrai, même si l’implication de ninja annulerait immédiatement la mission car trop dur pour un rang D, il n’avait aucune chance de pouvoir contrecarrer quelqu’un qui était assez puissant pour avoir des relation dans la police de Konoha. Si des ninjas étaient complices du revendeur, c’était minimum des Jounin et le Genin qu’il était n’avait aucune chance.

Oni décida pour eux deux d’aller récupérer les marchandises et de les rendre à Mr Hiromida. C’était la meilleure solution et Naoki était content de voir que cette mission avait fait passer la rivalité entre les deux garçons sur un second plan.

Ils retournèrent tout les deux à la petite boutique du marchand et prirent les quelques cartons qui étaient là où le voleur les avait indiqués. Oni annonça à la foule de pervers qu’on fermait boutique, s’en suivit alors des tas de protestations.

[Naoki] « Il parait que la librairie Hiromida va bientôt recevoir quelques exemplaires. Les premiers arrivés étant les premiers servis. »

La foule de gens disparut quasiment dans l’instant. Naoki pensa à récupérer également la somme rondelette que le vendeur avait réussit à se faire sur le dos de la famille Hiromida. Puis, il partit en direction de la librairie, espérant arriver avant que le gang de pervers n’ait démonté le magasin à cause de l’annonce qu’il venait tout juste de faire.

[ Bibliothèque Hiromida]

Oni : +16 XP RP (Combat Remporté)
Naoki: +16 XP RP (Combat Remporté)
Yosuke: +33 XP RP - Arbitrage (+50% MJ)

Revenir au restaurent faisait revenir certain souvenir à Oni. La mission pour Monsieur Hiromida, avoir trouver le premier voleur devant tous ces bars et restaurent était une très grande fierté. Aujourd'hui il y retourner mais non pas pour courir dans les rues à la poursuite d'un petit ricaneur, mais pour se détendre et discuter avec ses coéquipier. Dans trois jours ils partiraient tous ensemble en mission de rang C. Il avait décidé d'organiser cette petite soirée pour discuter de tous ce qui été stratégie malgré que le plan avait déjà été dit, mais cependant le fait de se rapprocher un peu plus de ses deux gamins pourraient apporter quelque chose dans leurs petit groupe, il est toujours bon de savoir que celui qui vous couvre ne veux pas vous planter un kunai dans le dos.

Il était 19H30, Oni se trouvait devant les portes d'un prestigieux restaurent, il avait l'habitude avant de si rendre avec ses parents. Maintenant c'était lu qui inviter. Tous cela lui coutera chers.

Presque une heure été passer et toujours pas la moindre trace de Naoki ou même de Shinji. Shinji été tellement enchanter d'être inviter au restaurent que l'idée que celui ci ne vienne pas ne venue même pas à l'esprit d'Oni.

*En y réfléchissant, nous n'avons pas donnés d'heure précise. J'espère qu'ils ne vont pas me faire glander ici trop longtemps.*

[Viens de l'entrainement de Shinji]

Sale, fatigué et transpirant suite à son entraînement… C’est comme cela que Shinji arriva dans le centre ville ou il avait rendez vous avec Naoki et Oni car celui ci avait eu la généreuse idée d’inviter ses coéquipiers à manger… Seul petit problème, il n’avait pas donné d’heure de rendez vous et plus embêtant, pas de lieu précis non plus, le centre ville n’était pas extrêmement grand mais il y avait quand même pas mal de restaurants différents dans la rue…

[Shinji] * J’espères qu’Oni est déjà la, sinon je trouverais jamais…hmm la nuit est presque totalement tombée, il doit sûrement nous attendre quelque part…*

Le gamin marchait donc dans les rues bien éclairées de Konoha, regardant à droite et à gauche de la rue à la recherche du Jigoku…Shinji appréciait particulièrement l’ambiance qui se dégageait de la rue, la nuit était tombée mais les lumières des différentes échoppes et bar ne laissaient aucune place à l’obscurité… Les jeunes filles étaient courtisées de toute part par les riches villageois et aussi les ninja qui s’octroyaient quelques moment de détente plus ou moins mérités… Le sake coulait à flot et Shinji savait bien que ce soir serait peut être l’occasion de boire de ce breuvage dont la jovialité et l’excentricité qu’il semblait procurer attirait le jeune genin…

[Shinji] * Oni doit avoir l’age d’en commander, j’lui demanderais d’en prendre pour moi…y’a pas de raisons qu’il veuille pas… et y’en a pas non plus que je puisse pas m’amuser comme les autres… et bla bla bla t’es trop jeune… reviens dans dix ans peut être…*

Enfin après quelques minutes de recherche et s’être passablement rincez l’œil sur quelques créatures bien en forme, il aperçoit enfin le genin aux cheveux rouge…Oni les attendait devant un restaurant chic, et Shinji regarda alors l’état dans lequel il se trouvait…

[Shinji] * arf… j’espère qu’ils vont me laissé rentrer…*

Il arriva à la hauteur d’Oni et le salua :

[Shinji] – Hey Oni ! J’espère que t’as pas attendu trop longtemps… Mais…heu c’est pas un peu trop cher comme restau ici?Enfin tu fais comme tu veux, mais j’te préviens j’ai les crocs !
Hmm Naoki n’est toujours pas là, il devrait pas tardé ! On à qu’a l’attendre…

Quelques minutes dans le silence parurent très longues à Shinji qui préféra se montrer sympathique envers celui qui l’invitait ce soir et donc il brisa ce silence :

[Shinji] –J’ai passé l’après midi à travailler mon attaque à distance… et toi t’as fait quoi ?

C’était le meilleur sujet de conversation qu’il pouvait trouver…